Hallucinations impératives

Auditif ou comme on les appelle hallucinations impératives. Les experts plus souvent que d'autres doivent rencontrer ce genre de plaintes. Les sons et les bruits que le patient entend sont assez divers. Ceux-ci peuvent être des sons saccadés saccadés ou des phrases entières distinctes, un cliquetis, un bruit de grattage, une voix solitaire ou une cacophonie de voix. Le niveau de bruit dans la tête peut être légèrement distinguable ou très fort, peu familier ou familier. Le plus souvent, ces sons effraient le patient. Ils le menacent, promettant de punir; effrayer; se subordonner, sont contraints d'exécuter leurs ordres. Une telle pression psychologique brise moralement la "victime". Il commence inconditionnellement à exécuter les commandes qui sonne dans sa tête.

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Causes des hallucinations impératives

Dans les névroses «banales», le délire auditif ne se manifeste généralement pas. Par conséquent, l'apparition d'hallucinations chez une personne parle de changements majeurs qui affectent les différentes parties du cerveau humain. Analysant le tableau clinique dans chaque cas individuel, un médecin qualifié tente de déterminer la source, qui est devenue le catalyseur de la maladie.

À ce jour, les médecins ont appelé seulement quelques raisons pour les hallucinations impératives, mais certains d'entre eux restent au-delà de la compréhension humaine.

L'alcoolisme Les personnes souffrant de cette maladie (en particulier pendant une longue période) sont très sensibles aux hallucinations auditives. Ils s'expriment dans l'apparition dans la tête d'une voix alcoolique, qui l'interpelle, appelant à une conversation. Mais le plus souvent, il y a plusieurs voix, elles communiquent entre elles, «discutent le patient, commentent ses actions», provoquant la panique du patient. Dans le contexte d'un tel désordre de la psyché, il est presque impossible de prévoir les actions ultérieures d'une telle personne.

La schizophrénie est un trouble de la personnalité psychotique. La transformation auditive dans ce cas est directement dirigée vers le patient. La voix communique avec lui, donne des ordres.

Ce sont les sources les plus courantes. Mais il y en a beaucoup d'autres. Par exemple, une telle symptomatologie peut provoquer des maladies vénériennes, par exemple la syphilis.

Souffre de la plus forte cacophonie auditive et des gens qui consomment de la drogue.

Le corps vieillit, des changements pathologiques ont lieu qui peuvent conduire au développement de la paranoïa sénile, qui est également capable de causer un tel symptôme à la victime.

Dans la liste des causes profondes de l'apparition des hallucinations de commandement, et il convient de noter amentia - opacification très sévère de la conscience, qui est exprimée dans une transformation négative de l'émission sonore de la parole, « courbure » de la pensée et de la perception du monde. Tout le danger de cette maladie réside dans le fait qu'une telle distorsion multiforme est tout à fait capable de mener un patient à la mort.

Les hallucinations impératives médecins se réfèrent à des déviations de nature verbale.

Après avoir établi la cause des changements pathologiques, un médecin qualifié peut prédire l'issue de la thérapie de traitement.

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Les symptômes des hallucinations impératives

Avec imperatum latine - traduit par la commande, mais considéré comme la terminologie désigne les sons auditifs anatomopathologiques qui sont perçus par le patient comme des ordres, le forçant à effectuer une action particulière. Le plus souvent, les symptômes des hallucinations de commande, exprimées chez les patients recevant ces ordres, qui ont un criminel - une couleur sadique, ce qui rend dangereux pour lui-même le patient, et pour les gens autour de lui. Les appels vocaux directement à la personne qui donne des ordres: « Prenez la hache, couper la main ... », « Grimpez à la fenêtre, sauter ... », « Prenez une corde autour de son cou et le démon Naquin, qui est proche ... »

Pas encore complètement perdu toute la santé mentale du patient partager avec le médecin leurs peurs. Ils ont très peur qu'à la prochaine intervention, ils lui ordonnent de causer des dommages physiques à l'un de ses proches. Après tout, lors d'une attaque, une personne perd le contrôle de son cerveau, la volonté est tellement réprimée qu'il ne peut pas résister aux voix - cela ne lui vient même pas à l'esprit.

Généralement, la voix se réfère directement au patient, mais il n'appelle pas le patient par son nom. Très rarement, les ordres vocaux se réfèrent à des actions abstraites ou à long terme, habituellement de tels ordres affectent la situation "ici et maintenant".

Généralement le patient entend de tels chuchotements avec les deux oreilles, mais il y a des cas où la perception sonore vient d'un côté. La plupart du temps, les gens commencent à entendre des voix la nuit, sur fond de silence absolu.

Un schéma très similaire se produit lorsqu'un patient est sous hypnose, dans un état de transe profonde.

Diagnostic des hallucinations impératives

S'il existe des soupçons parmi les personnes proches et proches qu'une personne proche souffre de la pathologie envisagée dans cet article, un psychiatre qualifié doit être consulté.

Son diagnostic d'hallucinations impératives commence généralement par le fait qu'il s'assure que le patient souffre précisément de pathologie, et que ses conversations et ses histoires ne sont pas une illusion ou un simple fantasme.

Après naveivanie auditif - ce sont des structures sonores qui se posent dans l'esprit d'un patient malade en l'absence d'un stimulus externe. Les personnes qui ont cette pathologie dans l'anamnèse sont différentes des "rêveurs" en ce sens que cette dernière peut facilement être changée en sens contraire. Alors que les patients du psychiatre ne sont pas convaincus par l'irréalité de la cacophonie sonore, il est irréaliste.

Si une personne sous l'influence de l'effet de la lumière ou d'autres facteurs voit comment la garde-robe change, devenant un ours en colère, alors c'est une illusion, un mirage dans le désert est une illusion. Mais si une personne est convaincue de la présence d'un chat dans un coin vide, alors c'est une hallucination. Des tests similaires sont également disponibles pour identifier les hallucinations impératives.

Une méthode importante de diagnostic de la maladie est l'observation visuelle par des spécialistes du comportement du patient. Une telle surveillance permet au médecin de confirmer la maladie et de déterminer sa forme de manifestation.

Les crises pathologiques peuvent se produire sporadiquement, avec des formes sévères de troubles mentaux, une personne peut complètement se plonger dans cet état. Il est très important de ne pas permettre une telle transition.

Le psychiatre surveille très étroitement et le changement de l'expression faciale, puisque chez le malade les manifestations émotionnelles exprimées par le changement du mimétisme facial, ne sont pas proportionnées à la situation environnante. Par exemple, dans un contexte de chagrin complet, un tel patient peut profiter de la vie, rire ... Ou dans un contexte de tranquillité totale, par exemple, un matin ensoleillé, les oiseaux chantent, et le patient est dans un état de panique, de peur, de colère ...

Le symptôme le plus prononcé des hallucinations auditives est le désir du patient de boucher ses oreilles, de cacher sa tête sous l'oreiller, pour ne pas entendre son chuchotement douloureux et douloureux. Ainsi, l'environnement ne donne pas de conditions préalables à de telles actions.

Il y a eu des cas enregistrés où des malades en horreur, se couvrant les oreilles avec les mains, se sont précipités jusqu'au bout, ne démontant pas la route, tombant en même temps sous les voitures, tombant par les fenêtres. Principalement, de telles manifestations sont rarement observées isolées, plus souvent il y a des changements complexes dans lesquels la pathologie auditive est combinée avec d'autres symptômes, par exemple, des états délirants.

Il y a aussi des personnes en bonne santé exposées à des illusions, alors que l'apparition de sons hallucinants est un indicateur indiscutable de la pathologie mentale, qui nécessite des soins médicaux d'urgence urgents.

Une grande attention à leurs parents et amis proches pour être en mesure de reconnaître à temps la maladie, parce que les gens d'entrer dans cette situation, la peur d'être mal compris, et arrête la chambre avec la peur dans un hôpital psychiatrique (ou, pour certains - lui est connu seulement à la raison) tente de cacher le délire, dissimulirovat il à sa vie de tous les jours.

La personne hallucinante devient plus alerte, concentrée, constamment sur ses gardes, pour ne pas trahir son état. Mais quand le stade précoce de la progression de la maladie est manqué, une personne commence progressivement à communiquer avec son interlocuteur imaginaire, répondant à ses questions à haute voix.

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Traitement des hallucinations impératives

Si une personne rencontre pour la première fois une telle situation pathologique, cela la met dans une stupeur et une horreur. Mais nous devons nous rappeler la chose principale - ce qui se passe, car une personne hallucinante est une manifestation de sa réalité. Par conséquent, la première chose à retenir pour ses proches est de savoir comment se comporter correctement dans cette situation et quel type d'aide ils peuvent fournir à leur voisin.

1. En aucun cas, nous ne devrions même essayer de dissuader le patient que tout ce qui lui arrive est une réalité transformée par la psyché.
2. Il faut faire preuve de tact, de patience et, à bien des égards, faire preuve d'imagination pour, tout d'abord, calmer une personne excitée et choquée. Par exemple, s'il est absolument certain que pour lui la fenêtre la nuit essayant de loups-garous, ne riez pas, il suffit de prendre une part active à trouver des moyens et des moyens de protection physique contre la menace (de la rue pour amener la branche de tremble dans la salle d'une icône, donner crucifix et ainsi de suite).
3. Il est nécessaire de profiter de tels attributs et d'essayer de créer une atmosphère et un environnement tels que les hallucinations résultantes ne provoquent pas une telle horreur, c'est-à-dire, si possible, atténuent la sévérité émotionnelle et la couleur négative.

Dans le même temps, ce qu'il est strictement interdit de faire aux autres, c'est:

• Se moquer de la "victime".
• Montrez votre irritation et votre mécontentement lorsque le patient commence à montrer des peurs. Réjouissez-vous qu'un être cher a confiance et cherche de l'aide, sinon il se refermera simplement sur lui-même, essayant de contenir l'horreur intérieure grandissante. Mais une telle situation ne peut pas durer éternellement, le moment viendra où "une explosion" se produira, et même un psychiatre expérimenté ne peut pas prévoir cette attaque.
• Jetez une leçon désespérée pour convaincre les hallucinants que c'est le fruit de sa conscience enflammée.
• Ne pas insister sur son attention sur ce problème et essayer de savoir qui lui parle, quelle est la source sonore.
• Lors d'une attaque, il est particulièrement nécessaire de surveiller vos émotions, ne pas élever la voix et parler trop fort. Pendant cette période, il est nécessaire que le patient crée l'illusion que les autres font tout pour l'aider et le «sauver».
• Un peu réduire l'excitation peut calmer la musique apaisante, un changement de décor, dans des cas particuliers, les médicaments médicinaux, qui ne devraient être prescrits que par un diplômé.

Mais comme si les proches n'étaient pas attentifs à la "victime", il a juste besoin de soins médicaux qualifiés. Après avoir adressé à l'expert, le diagnostic sera fait, des recommandations sont données et un traitement adéquat est nommé.

À ce jour, le traitement des hallucinations impératives est effectué par plusieurs méthodes, mais toutes, principalement, visent à éliminer les attaques pathologiques, le retrait du patient de l'état délirant.

Dans le protocole médical de thérapie comprend généralement de tels agents pharmacologiques comme Tisercinum, hlorazin, kontomin, plegomazin, gibanil, Thorazine, chlorhydrate de chlorpromazine, chlorpromazine, largaktil, chlorpromazine, fenaktil, ampliaktil, gibernal, PROMAKTIV, propafenin, megafen, kloproman ou ampliktil.

Un antipsychotique, un médicament neuroleptique, l'aminazine, est habituellement administré par voie intramusculaire ou intraveineuse.

En cas d'injection intramusculaire, la dose maximale unique est de 0,15 g pour un jour - 0,6 g Le calendrier d'absorption recommandé est généralement représenté par la nomination de un à cinq millilitres d'une solution à 2,5%, mais pas plus de trois procédures tout au long de la journée.

En cas d'attaque aiguë de la maladie, le médecin prescrit l'administration intraveineuse du médicament. Dans le même temps, deux à trois millilitres de solution à 2,5% sont dilués avec 20 ml d'une solution à 40% de glucose avant l'injection. Avec cette méthode d'administration de médicament dans le corps, une seule dose maximale est de 0,1 g, en un jour - 0,25 g.

En arrêtant l'attaque à la maison, le psychiatre peut prescrire des médicaments de ce groupe sous forme de comprimés ou de dragées. Aminazin est pris par voie orale immédiatement après les repas (cela permettra de réduire le niveau d'irritation des organes muqueux du tube digestif). La posologie quotidienne initiale du médicament est de 25 à 75 mg, séparés par une à deux à trois doses.

Contre-indications à l'utilisation dans le protocole de traitement de ce médicament sont:

• Intolérance individuelle au corps du patient d'un ou de plusieurs composants constitutifs du médicament.
• Et aussi la présence d'une anamnèse de décompensation cardiovasculaire.
• Lésions ulcéreuses et érosives de l'estomac et du duodénum.
• Changements pathologiques graves dans le foie et les reins.
• Hypotension sévère.
• Les fautes dans le travail de l'estomac.

En parallèle, le médecin nomme également halopéridol, Senorm, haloper, trancodol-5 ou trisédil.

Un neuroleptique appartenant à des dérivés de butyrofénone, l'halopéridol est administré au patient par voie orale 30 minutes avant le repas prévu. Pour réduire le niveau d'irritation de la muqueuse du système digestif, le médicament peut être bu avec une quantité suffisante de lait.

Le dosage quotidien recommandé de départ (en fonction du tableau clinique et de l'intensité de l'attaque) est prescrit dans la gamme de 0,5 à 5 mg, séparés par deux à trois doses. Peu à peu, la dose augmente de 0,5 à 2 mg, jusqu'au moment où l'effet thérapeutique attendu est atteint. Dans les cas particulièrement graves, l'augmentation de dosage peut être de 2 à 4 mg.

La quantité maximale permise d'un médicament autorisé dans un apport quotidien est déterminée par le chiffre de 100 mg.

Dans la plupart des cas, l'efficacité thérapeutique de soulager l'attaque peut être atteinte à des doses quotidiennes de 10-15 mg.

Si le patient a une forme chronique de schizophrénie, alors le problème est généralement guéri par des doses quotidiennes de 20-40 mg.

Dans les cas résistants, avec une immunité spéciale du corps du patient au médicament, le composant quantitatif de son administration peut s'arrêter à 50-60 mgs.

La dose d'entretien, qui est prise par le patient entre les crises, est de 0,5 à 5 mg par jour. Ces chiffres sont réduits très soigneusement et progressivement.

La durée du traitement peut prendre en moyenne deux à trois mois.

Si la maladie est diagnostiquée chez les enfants âgés de 3 à 12 ans, poids corporel qui se situe dans les 15 à 40 kg, la dose du médicament administré est calculée de 0,025 à 0,05 mg par poids de corps de kg de la petite malade espacées deux - trois étapes. Augmenter la dose ne peut être plus d'une fois tous les cinq à sept jours. La dose journalière maximale admissible du médicament ne doit pas dépasser 0,15 mg par kilogramme de poids du patient.

Pour les personnes âgées souffrant d'hallucinations impératives, la quantité de médicament administrée est réduite et la moitié ou même le tiers de la dose adulte recommandée est administrée. La posologie peut être augmentée pas plus d'une fois tous les deux ou trois jours.

Si nécessaire, le médecin traitant peut prescrire ce médicament dans une autre forme de libération: gouttes orales, solution pour injections intraveineuses ou intramusculaires.

Il est recommandé de ne pas appliquer le considéré comme le protocole de traitement médicamenteux, si le patient souffre de la maladie de Parkinson, la dépression du système nerveux central, la perte de noyaux gris centraux dans les troubles dépressifs, et si l'âge du patient au moins trois ans, et aussi dans le cas où le corps du patient présente une hypersensibilité à la formulation composant ingrédients et dérivés de butyrophénone.

D'autres médicaments antipsychotiques antipsychotiques et atypiques, ainsi que les antidépresseurs nécessaires, peuvent également être inclus dans le protocole de traitement.

Par exemple, il peut être moclobémide (auroriks), imipramine (imipramine) eprobemide, citalopram (tsipramil), amitriptyline, Cymbalta (duloxétine), trimipramine (gerfonal) et bien d'autres.

L'antidépresseur et sédatif - amitriptyline - est donné au patient pour l'absorption orale, sans mâcher, immédiatement après un repas - ceci réduira l'irritation de la muqueuse du tube digestif.

Le médicament est pris de plusieurs façons: juste avant le coucher, la dose maximale est administrée. Pour un patient adulte, cette dose est de 25 à 50 mg. Graduellement de petites quantités augmentent le chiffre initial à 150-200 mg par jour, divisé en trois doses, tandis que le temps pour lequel cette augmentation est faite, de cinq à six jours.

Si pendant deux semaines l'effet thérapeutique n'est pas visible, la quantité quotidienne du médicament administré est portée à 300 mg. Si les symptômes dépressifs ont disparu, la quantité prescrite de la drogue, au contraire, est progressivement réduite aux chiffres 50-100 mg par jour.

La durée du traitement est en moyenne d'au moins trois mois.

Chez les personnes âgées présentant un trouble bénin, des doses comprises entre 30 et 100 mg par jour sont attribuées et, après avoir atteint l'efficacité thérapeutique, la dose administrée est réduite à une dose journalière de 25 à 50 mg.

Si nécessaire, l'utilisation d'autres formes de libération du médicament en question est autorisée.

L'amitriptyline peut être administrée sous forme de solution intraveineuse ou intramusculaire. Le taux d'administration de médicaments est lent. La quantité de départ est de 20 à 40 mg quatre fois par jour. Les injections sont progressivement remplacées par une forme d'administration de comprimés.

La durée du traitement n'est pas plus de six à huit mois.

Le dosage pour les enfants de six à douze ans est de 10 à 30 mg, ou est calculé à raison de 1 à 5 mg par jour et par kilogramme du poids d'un petit patient, divisé en plusieurs réceptions.

Pour les adolescents de plus de 12 ans - 10 mg trois fois pendant la journée. En cas de nécessité médicale, la quantité de médicament administrée peut être augmentée à 100 mg par jour.

Est une contre-indication à l'utilisation de la phase aiguë ou de la période de rétablissement après un infarctus du myocarde, le glaucome par fermeture de l'angle, l'intoxication alcoolique aiguë, la présence chez le patient de conduction intraventriculaire, inhibiteurs de la MAO de traitement simultanés, ainsi qu'une augmentation de la sensibilité aux médicaments composant et l'amitriptyline.

Toutes les hallucinations, y compris les hallucinations, sont traitées selon un schéma strictement individuel, car la source des déviations pathologiques chez chaque personne peut être différente et composée de nombreux facteurs différents.

S'il s'avère que la cause d'un bruit anormal est un dysfonctionnement de l'aide auditive, alors, naturellement, vous devriez contacter l'audiologiste, vérifier l'appareil et, si nécessaire, le remplacer par un auditif.

Prévention des hallucinations impératives

Quelque chose de spécifique à conseiller et à conseiller dans cette situation est assez difficile. La seule chose qui peut être attribuée à la sous-section "prévention des hallucinations impératives" - ce sont quelques conseils:

• Adhérer à un mode de vie sain.
• Apprenez à éviter les situations stressantes.
• Évitez le stress physique et mental, l'épuisement.
• Refuser les mauvaises habitudes, en particulier celles associées aux hallucinogènes.

Ce n'est pas étrange, mais un tel conseil simple réduira plusieurs fois le risque de développer une lésion, appelée en médecine par des hallucinations impératives.

Prévision d'hallucinations impératives

Si au cours du développement d'une maladie mentale, des hallucinations se joignent à la symptomatologie pathologique, les médecins signalent la détérioration de l'état du patient et la complication du tableau clinique de la maladie. Les hallucinations auditives qui sonnent aux oreilles d'un malade en tant qu'ordre sont appelées impératives. Très souvent, les voix audibles sont d'une couleur criminelle-sadique, incitant à l'action, ce qui est dangereux pour la personne ou pour ses associés. Si vous ne prenez pas des mesures opportunes et ne suivez pas le patient sous traitement d'entretien, le pronostic des hallucinations impératives est très déplorable.

Si les mesures sont prises tardivement ou si les symptômes ont été ignorés, tout peut aboutir à un résultat létal pour le patient. Souvent, la maladie en question est observée chez les personnes sujettes à des actions suicidaires ou homicides.

Même une personne en bonne santé, entendant un murmure et ne trouvant pas sa source, n'est pas à l'aise de sentir la graine dans cette situation, et que dire de la personne malade. Les sensations auditives trompeuses, qui ont un caractère impératif agressif - les hallucinations impératives - sont une maladie assez sérieuse et dangereuse, qui ne peut être gérée que par un spécialiste hautement qualifié. Par conséquent, si vous avez des doutes sur votre compte ou à la charge de votre bien-aimé, il est préférable de consulter un médecin. L'essentiel est de ne pas rater le début du trouble, quand il peut encore être contrôlé avec des médicaments assez épargnants. Un tel patient, à l'arrière-plan de la pharmacothérapie, est capable de mener une vie sociale de qualité suffisante. Mais si le moment est manqué et la maladie progresse - il est nécessaire de traiter la maladie, mais maintenant il sera nécessaire d'appliquer beaucoup plus de force et de patience, et le résultat est assez difficile à prévoir.

Alors soyez attentifs à vous-même et à votre famille et vos amis!