Y a-t-il une forte fièvre sans cause chez l'adulte et quand doit-elle être combattue?

Probablement, chaque adulte au moins une fois dans sa vie s'est plaint d'avoir eu de la fièvre sans raison. Mais vous devez comprendre que sans une raison, un tel symptôme ne peut pas apparaître et que l'absence d'autres manifestations de la maladie n'est pas toujours un indicateur de santé absolue. En écoutant votre corps, vous pouvez mieux comprendre que sans une raison, aucun symptôme n'y apparaît, mais nous ne savons pas toujours comment déchiffrer correctement les signaux que nous donnons.

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Causes fièvre élevée sans cause chez les adultes

Quelle est la température la plus élevée?

Beaucoup d'entre nous savent depuis l'enfance que la température corporelle normale est de 36,6 degrés. Nous avons donc tendance à paniquer lorsque la colonne du thermomètre s'avère soudain légèrement supérieure à cette marque. En disant "j'ai une température", nous soupçonnons son augmentation au-delà de la norme, ce qui signifie que cela peut être 36,7 ou 36,9.

Les médecins disent qu'une augmentation de la température pendant la journée à 37 degrés peut être considérée comme une variante de la norme, surtout si une personne mène un mode de vie actif. Une activité physique intense par temps chaud peut facilement entraîner une augmentation de la température et des niveaux plus élevés. Certes, une telle température est un phénomène transitoire, les fonctions régulatrices du corps le ramènent rapidement à la normale lorsqu'une personne se repose.

Le risque de surchauffe dans la vie quotidienne peut être une situation stressante, une forte excitation, après laquelle une personne peut littéralement être fébrile. Mais dès que le système nerveux se calme, la température augmente soudainement.

Chez les femmes en âge de procréer, les fluctuations de température allant jusqu'à 37-37,2% ne devraient pas être particulièrement préoccupantes, car elles sont le plus souvent associées à des changements hormonaux au cours du cycle menstruel. Les mêmes plaintes peuvent être entendues de ceux qui ont été dépassés par la ménopause précoce. Ils sont tourmentés non seulement par les bouffées de chaleur (chaleur dans la moitié supérieure du corps), mais aussi par de véritables sauts dans les caractéristiques de température du corps entier.

En ce qui concerne le sexe fort, ils sont généralement associés à un travail physique intense et au surmenage sur ce sol. Et à l'adolescence, les garçons peuvent avoir un tel syndrome, appelé température de croissance. Dans ce cas, l'augmentation de la température corporelle est associée à une importante libération d'énergie, qui n'affecte en rien le bien-être du jeune homme et n'est pas accompagnée d'autres symptômes inhabituels.

La chaleur sans raison peut être le résultat d'une surchauffe banale au soleil, d'une exposition prolongée à la chaleur ou dans une pièce encombrée. La température corporelle surestimée peut être observée pendant un certain temps après la visite du bain ou du solarium.

Un autre facteur pouvant causer une hyperthermie temporaire est la prise de médicaments. Elle peut être traitée avec des antibiotiques (tétracycline, la pénicilline et de la série des céphalosporines) ou les anesthésiques, les barbituriques et les diurétiques, les médicaments pour le traitement de troubles neuropsychiatriques, des antihistaminiques, des agents cardio-vasculaires. Le même « Ibuprofen » (un du budget le plus populaire AINS), conçu pour réduire le nombre de chaleur peut également provoquer une augmentation de la température du corps peu après l'admission.

En général, une violation du mécanisme de thermorégulation contre les médicaments est observée le 4ème et le 5ème jour. L'augmentation de la température dans ce cas dépend de la réaction du corps au médicament et de son effet.

Il s'avère que la température du corps au-dessus de 37 degrés n'a pas toujours besoin d'être considérée comme une preuve de maladie, car les fluctuations de température pendant la journée peuvent atteindre environ 2 degrés, c'est-à-dire il peut tomber de 1 degré en dessous de la normale ou monter à 37,4-37,5. Et même avec certaines maladies, la fièvre n'est pas considérée comme un symptôme dangereux. Par exemple, les fluctuations de température dans la dystonie végétovasculaire (et la prévalence de cette pathologie est extrêmement élevée) est une situation courante. Et bien que des taux trop élevés ne soient pas observés, la température augmente régulièrement.

Maintenant, en ce qui concerne la mesure de la température, qui peut être effectuée non seulement sous l'aisselle. Tout ce qui a été écrit ci-dessus est typique de la température sous les aisselles, où il est le plus souvent mesuré chez les adultes. Mais pour la cavité buccale, la température normale n'est pas 36,6, mais 37 degrés, et la mesure rectale des indicateurs de température donnera des résultats encore 0,5 degré de plus. Ainsi, la température, considérée comme élevée pour l'aisselle, sera normale pour l'ouverture anale. Ces moments doivent également être pris en compte avant de susciter la panique.

Comme nous le voyons, bien que nous ayons l'habitude d'associer la fièvre aux rhumes, une augmentation de la température corporelle peut en fait provoquer de nombreux facteurs différents qui ne parlent pas du tout d'une maladie débutante. Néanmoins, ce n'est pas une excuse pour se détendre. Une seule surchauffe à court terme est peu susceptible d'indiquer quelque chose de grave. Habituellement, le lendemain, le symptôme disparaît sans laisser de trace ou des manifestations supplémentaires de la maladie apparaissent. Si la température élevée (supérieure à 37,2 degrés) ne dure pas plus de deux jours, il s’agit déjà d’une occasion de consulter un médecin.

La température comme preuve de maladies cachées

Les situations sur lesquelles nous avons écrit ci-dessus sont des phénomènes temporaires et peuvent très rarement provoquer une élévation prolongée de la température. Il s’agit plutôt d’une fluctuation des performances de la température, plutôt que d’une augmentation persistante de la température. Mais il y a d'autres raisons à la fièvre. Ils peuvent être appelés pathologiques au sens plein du terme, car leur nom n’est rien d’autre qu’un diagnostic médical.

Commençons par le fait que dans un contexte de hausse des températures, les rhumes se produisent généralement. Ils ne commencent pas toujours par un rhume et un mal de gorge. Le SRAS, la grippe et l'amygdalite peuvent provoquer une augmentation brutale de la température jusqu'à 40 degrés et plus dès les premiers jours de la maladie, lorsque aucun autre symptôme n'est observé. Une personne ne peut ressentir que des fractures dans le corps et des faiblesses qui, entre autres, peuvent être causées par le surmenage, ce qui la rend difficile à diagnostiquer. Si le patient est malade, le patient peut suspecter seulement le jour 2-3, quand d'autres symptômes d'un rhume apparaissent.

Hélas, les maladies respiratoires sont les plus fréquentes, mais en aucun cas la seule cause de la fièvre. Un tel symptôme peut accompagner de nombreuses maladies infectieuses aiguës. L'augmentation de la température à 37,5 degrés et plus sans symptômes chez l'adulte est la preuve que le corps a commencé à lutter contre l'infection, le système immunitaire a été activement impliqué dans le travail.

L'augmentation de la température peut provoquer une infection bactérienne et en particulier une infection accompagnée de la formation de foyers purulents. S'il s'agit d'une infection intestinale, accompagnée d'une élévation de la température, de nausées et de vomissements, de douleurs abdominales, des selles liquides apparaissent immédiatement. Les infections de l'appareil génital dans la très grande majorité des cas sont toujours accompagnées de sécrétions inhabituelles des organes génitaux, foyers d'éruptions cutanées, auxquelles la personne n'a jamais prêté attention. Et puis beaucoup de patients ne comparent pas les symptômes ci-dessus, croyant qu'ils sont causés par diverses maladies.

Si d'autres symptômes sont absents avec une élévation de température pendant plusieurs jours et que la température est maintenue entre 38 et 40 degrés, il est peu probable qu'il s'agisse de surmenage, de surchauffe au soleil ou au froid. Une telle élévation de température est causée par l'effet toxique sur le corps des produits de l'activité vitale des bactéries, plutôt que par le travail accru du système immunitaire, et indique plutôt qu'elle ne fait pas face à l'infection.

Quelles maladies infectieuses peuvent être suspectées en cas de forte fièvre sans cause chez l'adulte:

• La plupart des maladies inflammatoires de différents endroits, causées par une infection bactérienne, peuvent pour le moment circuler sous une forme latente:
  • inflammation de la couche interne du coeur (endocardite),
  • inflammation des reins (pyélonéphrite),
  • inflammation des poumons (pneumonie),
  • inflammation de la prostate chez l'homme (prostatite),
  • inflammation des ovaires chez la femme
  • inflammation des membranes du cerveau (méningite), etc.
• Infection du sang (septicémie).
• Maladies infectieuses (angine, tuberculose, typhoïde et beaucoup d'autres).
• Infections transmises par des animaux:
  • la brucellose (maladie moins répandue, danger d'infection existant lors de la prise en charge du bétail ou travaillant dans des fermes d'élevage),
  • la toxoplasmose (et cette pathologie peut être infectée au quotidien dans le cas des animaux domestiques, en particulier des chats, et de la consommation de viande insuffisamment rôtie). La température en même temps sera stable: dans le cours chronique il sera dans les 37-3.2 degrés, avec aigu - il peut être assez élevé, non affecté par les agents antipyrétiques habituels.
• Maladies virales, fongiques et parasitaires, notamment ARVI, grippe, mononucléose infectieuse, hépatite, candidose en tout lieu, paludisme, etc.
• Maladies auto-immunes et autres maladies inflammatoires systémiques (rhumatismes, vascularites, sclérodermies, lupus érythémateux, maladie de Crohn, etc.).
• Les troubles du système endocrinien, et en particulier l'hyperteriose, le goitre, la porphyrie (l'augmentation de la température dans les pathologies endocriniennes n'est pas toujours observée).
• Maladies inflammatoires-dégénératives des os et des articulations (ostéomyélite, arthrose, polyarthrite rhumatoïde, etc.)
• Divers pathologie cancéreuse maligne :. Novooobrazovaniya dans le foie, les reins, l'estomac, du pancréas, le cancer du côlon, le lymphome, lymphosarcome, etc. (dans la plupart des cas, la température élevée est la seule manifestation du cancer dans les premiers stades).
• Maladies du sang (la fièvre peut être observée avec une leucémie, mais elle sera irrégulière). La température dans les valeurs sous-fébriles peut être maintenue à un faible niveau d'hémoglobine (anémie ferriprive).
• Blessures (possiblement à la fois une augmentation locale et générale de la température corporelle si une inflammation se produit sur le site de la lésion).
• Maladies allergiques (la seule manière de stabiliser en permanence la température du corps est de détecter et d'éliminer l'allergène), y compris les réactions à la vaccination.
• Infarctus (l'augmentation de la température est rarement diagnostiquée).
• Pathologies vasculaires, y compris thrombophlébite et thrombose veineuse (dans ce cas, de la fièvre et des frissons peuvent survenir).
• Certains troubles mentaux, accompagnés d'une excitabilité accrue du système nerveux.
• Intoxication à l'alcool (sans autres symptômes, la température peut être maintenue à moins de 38 degrés).
• Maladies parasitaires causées par une infection aux helminthes (caractérisée par une longue température subfébrile de 37-37 degrés).
• L'infection par le VIH (augmentation prolongée de la température à des valeurs sous-fébriles dans le contexte d'une exposition à des maladies infectieuses peut être le premier signe d'immunodéficience), etc.

Toutes les pathologies ci-dessus peuvent être accompagnées d'une augmentation soudaine de la température, qui peut durer plusieurs jours. Ainsi, en l'absence d'autres symptômes, une température élevée sans cause peut être considérée comme le premier signe d'une maladie existante dans le corps (chronique ou aiguë, se poursuivant sous une forme latente).

Température sans symptômes chez l'enfant

Comme nous l’avons déjà dit, l’organisme de l’enfant diffère de l’adulte dans la mesure où beaucoup de ses systèmes sont encore en phase de formation. Par conséquent, différents processus dans le corps de l'enfant (à la fois physiologiques et pathologiques) peuvent se dérouler différemment.

Le mécanisme immature de la thermorégulation fait que le corps de l'enfant surchauffe beaucoup plus souvent que l'adulte. Craignant, comme si l'enfant n'était pas malade, les mamans commencent à envelopper les bébés, même si cela suffit pour couvrir le bébé d'une couche légère. En raison de la surchauffe (transfert de chaleur n'est pas réglementé), le corps de l'enfant est rouge, le bébé commence à agir jusqu'à, la température monte. Les parents, à leur tour, deviennent nerveux, car ils sont associés à un éventuel rhume (à partir duquel l'enfant essayait de protéger) ou à une autre maladie, et à cause de l'absence de symptômes, ils ne sont perdus que dans des conjectures. Maintenant, dans le contexte de l'expérience, il n'est pas étonnant que ma mère puisse monter en température.

Le système immunitaire non formé de l'enfant entraîne le fait que les enfants souffrent plus souvent de maladies infectieuses. Par la suite, ils développeront une immunité contre certains types d'agents pathogènes, mais pour le moment, les maladies des enfants peuvent être ajoutées à la liste des pathologies inflammatoires infectieuses courantes.

En raison de la faiblesse des fonctions régulatrices de l'hypothalamus, la température du bébé peut atteindre des valeurs critiques (39 degrés ou plus), en particulier si l'organisme rencontre d'abord une infection. Dans ce cas, l'enfant peut se sentir tout à fait normal. Si un adulte à une température de 38-39 degrés tombe tout juste, subissant un terrible éclat, un enfant avec le même thermomètre jouera et s'amusera comme si de rien n'était. Et cela confond les parents, car ils ne peuvent pas comprendre la cause de l'hyperthermie chez un bébé, dont le comportement ne parle pas d'un état morbide.

Lorsqu'une fièvre sans raison survient chez un adulte, c'est un mystère auquel tout le monde traite à sa manière, le plus souvent une attitude attentiste (et soudain, il y aura d'autres symptômes et provoquera la chaleur). Mais l'augmentation de la température chez un enfant provoque immédiatement une panique ou, au mieux, une anxiété notable chez les parents, même si le bébé lui-même ne peut pas le montrer. Il est peu probable qu'un parent attentionné veuille s'asseoir et attendre ce qui se passera par la suite et espère que tout se passera de lui-même (même s'il y a aussi des mamans et des pères).

Mais pour naviguer dans une situation, vous devez avoir une idée de ce qui peut causer l’augmentation de la température chez l’enfant, qu’il y ait ou non d’autres symptômes de la maladie. Il est nécessaire de comprendre que s’il s’agit d’enfants jusqu’à 2 ans, il est tout simplement stupide d’attendre des plaintes de leur part. Les enfants de cet âge ne peuvent pas exprimer leurs sentiments et sentiments avec des mots, ne peuvent pas se plaindre. Au mieux, les parents devront faire face à des larmes et à des caprices, qui peuvent être interprétés de différentes manières. Les seins, par exemple, peuvent être capricieux même s'ils veulent juste dormir, et cela n'a rien à voir avec la maladie. Mais de la même manière qu'un enfant peut montrer que sa gorge ou son ventre est douloureux, et que les parents ne peuvent pas immédiatement comprendre que le mal des transports dans ce cas ne donnera rien.

Quelles sont les causes les plus fréquentes d'une élévation de température chez un enfant:

• Les infections avec lesquelles les enfants sont malades plus souvent que les adultes.

Pour la reproduction de bactéries, et les virus prennent du temps, les symptômes de la maladie n'apparaissent généralement pas immédiatement. En outre, en raison de la faiblesse des symptômes du système immunitaire peut être lissée, de sorte qu'il peut être qu'une augmentation de la température (réponse normale du système immunitaire sur l'introduction d'organismes étrangers ou la reproduction de son « rodnenky ») il n'y a pas de raison. Mais l'absence de causes visibles de la maladie ne signifie pas que l'enfant est en bonne santé. Comprendre cela aidera seulement un pédiatre expérimenté.

• Surchauffe du corps.

Nous avons déjà mentionné que le système de thermorégulation de l'enfant ne fonctionne pas aussi bien que d'un adulte, de sorte que le bébé d'activité physique accrue (ce qui est un phénomène normal) peut provoquer une légère augmentation de la température corporelle (jusqu'à 37,5 degrés, et parfois plus) .

Les seins peuvent surchauffer même par temps froid, si pendant le sommeil le bébé est trop enveloppé, comme cela se produit lorsque vous vous promenez en hiver. Mais cela est déjà dangereux non seulement en augmentant la température. Le bébé qui transpire peut alors s'asseoir dans une poussette et geler, ce qui provoquera une fièvre supérieure à une raison, car le nez qui coule et la toux se rejoindront.

Et une dernière nuance. L'enfant après la marche devra s'habiller avec des vêtements secs, et il en coûte à maman d'hésiter, le corps de l'enfant va se refroidir instantanément et les symptômes du rhume vont bientôt apparaître.

En été, vous devez vous assurer que l'enfant n'est pas longtemps au soleil et encore plus avec une tête non couverte. Si l'activité solaire est élevée et que la rue est trop encombrée, les promenades se font mieux et s'abstiennent complètement, ce qui aidera à éviter la surchauffe et la fièvre chez l'enfant.

• Dentition.

C'est déjà un problème purement infantile, et il peut déranger un enfant de 4 à 5 mois et jusqu'à 2 ans et demi, alors que les dents de lait seront coupées. Et il faut dire qu'un tel processus naturel n'est pas asymptomatique. En plus d'augmenter la température, vous pouvez remarquer d'autres manifestations: augmentation de la salivation, manque d'appétit, larmes. Ces symptômes, bien sûr, ne sont pas spécifiques, mais peuvent toujours indiquer à la mère ce qui cause la chaleur chez le bébé.

Certains symptômes peuvent être remarqués plus tôt. Par exemple, à la veille de la dentition, l’enfant attire constamment à la bouche les mains et divers petits objets qui peuvent rayer les gencives enflammées. Dans la bouche du bébé, vous pouvez tâtonner les gencives élargies et même les arêtes vives des dents.

Habituellement, la température dans la période où le «prochain» zubik «grimpe» augmente à 38 degrés. S'il y a des complications, il peut augmenter. Pendant cette période, vous devez faire attention aux promenades en plein air, surtout par temps froid.

Encore une fois, nous allons nous concentrer sur les infections. Il faut comprendre que non seulement l’angine, l’infection virale respiratoire aiguë ou la grippe peuvent survenir avec la fièvre. Un enfant peut tomber malade avec une autre maladie infectieuse, mais à cause de son petit âge, il ne pourra pas parler à ses parents des symptômes qui le tourmentent.

Par exemple, la pharyngite est l'une des pathologies fréquentes de l'enfance. Chez l'enfant, à un courant de maladie aigu, la température sera dans les limites 37,5-38 et, apparemment, rien ne fait de mal. La langue et les amygdales peuvent rester inchangées ou légèrement enflammées, mais si vous examinez soigneusement l'arrière du pharynx, vous pouvez voir des rougeurs et l'apparition de petits granules ou plaies. Le danger de la pharyngite est qu’elle peut précéder des pathologies infantiles telles que la rougeole, la scarlatine et la rubéole.

Avec une température élevée se produit généralement non seulement amygdalite bactérienne, quand on voit une gorge rouge, enduit blanchâtre et des lésions purulentes sur les amygdales, et l'enfant pleure et refuse de manger, car il serait difficile à avaler (la bénédiction avant l'âge de deux bébés souffrent rarement de cette pathologie). Herpangine peut également avoir lieu avec une température élevée, tout à la gorge, les amygdales et les poignées palatin apparaissent que de petites bulles transparentes au lieu de la douleur sévère est peu d'inconfort.

Si la fièvre de l'enfant s'est élevée et que la gorge ne devient pas rouge, il convient d'examiner les muqueuses de la bouche. L'apparition de vésicules et d'ulcères est associée à une stomatite. Les parents peuvent immédiatement ne pas remarquer que l'enfant a augmenté la salivation, et le refus de manger est perçu comme un caprice normal.

Au fait, si la température augmente, l'infection n'a pas besoin d'être dans la bouche ou la gorge. La cause de la fièvre peut être une otite moyenne aiguë (inflammation de l'oreille moyenne). Les manifestations externes de la maladie ne sont donc pas des caprices et une sensation constante de l'oreille, les parents ne sont pas toujours associés à une inflammation.

Chez les enfants de plus de 9 mois, la température peut être associée à un exanthème - une infection virale aiguë causée par les virus de l'herpès de type 6 et 7, ainsi que par d'autres virus. Au début de la maladie, aucun symptôme, en plus d'une forte augmentation de la température, n'est généralement observé. Plus tard, la diarrhée se joint et l'éruption apparaît généralement après que la température commence à diminuer. Habituellement, la pathologie affecte les enfants jusqu'à 2 ans.

Ne doit pas être exclu, et les infections des voies urinaires, qui sont les seuls symptômes peuvent être la fièvre et des mictions fréquentes que les parents peuvent communiquer avec cet enfant à la veille de surfusion (par exemple, une longue promenade sur la rue). En fait, tout peut être beaucoup plus grave et une augmentation de la température devrait servir à appeler un médecin.

Une légère augmentation de la température peut être observée chez l'enfant et dans le contexte d'une réaction allergique (la même diathèse chez le nourrisson). Pourtant, l'allergie - est une petite inflammation en réponse au stimulus (allergène), et l'inflammation a généralement lieu à une température élevée, ce qui indique que le système immunitaire est impliqué dans la lutte contre « nuisibles ». Y aura-t-il d'autres symptômes, c'est une autre question. Oui, et pas habitué à associer les mamans ayant de la fièvre aux allergies, surtout si elles ne l'ont pas eue dans l'enfance. Beaucoup ne considèrent pas la diathèse comme la cause de la fièvre. Mais après tout, l'organisme de chaque enfant est individuel et le fait que la température n'ait pas eu de mère ne signifie pas qu'il ne devrait pas être chez l'enfant.

Augmenter la température corporelle chez l'enfant et empoisonner. Habituellement, il s'agit d'une intoxication alimentaire. Dans ce cas, la température peut même dépasser 40 degrés, ce qui indique une forte intoxication du corps. En même temps, la température, bien que ce soit une réaction protectrice du corps contre les bactéries qui pénètrent dans le corps avec les aliments altérés, est considérée comme un symptôme particulièrement dangereux pour l'enfant. Les enfants sont plus lourds que les adultes, tolèrent l'intoxication, ils risquent davantage de développer une déshydratation et les conséquences d'un empoisonnement chez un enfant présentant un organisme fragile peuvent être beaucoup plus dangereuses que les adultes.

Habituellement, lors d'un empoisonnement, il existe d'autres symptômes: douleurs abdominales, nausées, vomissements, diarrhée. Mais tous les parents ne comprennent pas que la température est aussi l’une des manifestations de l’ivresse, il n’est donc pas intéressant de s’étonner de son apparition dans ce cas.

Comme nous le voyons chez les enfants, les raisons pour augmenter la température ne sont pas moindres que chez les adultes. De plus, ils ont leurs propres maladies infantiles qui ne menacent pas leurs parents. La raison pour laquelle la  température élevée chez les enfants se produit sans raison,  il est nécessaire de considérer l'incapacité des parents à lire les signaux qui leur sont donnés par un petit enfant. En fait, la raison est toujours, mais pas toujours l'enfant peut clairement en parler.

Pathogénèse

Pathogenèse de la fièvre

Il y a un certain pourcentage de personnes qui ont une température corporelle élevée. Ceci est une conséquence de la perturbation du travail de l'appareil sous-cortical du cerveau, et en particulier de l'hypothalamus, qui régule les indices de température en fonction de l'évolution des conditions environnementales. Chez ces personnes, l’hyperthermie est observée de manière continue et constitue le seul symptôme d’un trouble appelé syndrome hypothalamique. Et les indicateurs de température "normale" peuvent atteindre 39 degrés, auxquels le corps devra encore s'habituer, car cet état peut durer plusieurs années.

Nous appelions chaleur "fièvre" ou "fièvre". Mais ces noms sont plus justifiés pour l'hyperthermie causée par des causes pathologiques telles que les inflammations, les infections, les intoxications, etc. En ce qui concerne la fatigue, la surchauffe, le stress ou un mauvais fonctionnement persistant de l'hypothalamus, il est sage de se limiter encore « hyperthermie », un terme qui reflète parfaitement l'essence du problème.

La régulation de la température corporelle est l'un des nombreux processus physiologiques qui se produisent quotidiennement dans notre corps au niveau du réflexe conditionné. Chez un nouveau-né, ce mécanisme n'est pas encore parfait, de sorte que les bébés ont une forte fièvre sans cause, indiquant que le corps surchauffe, cela se produit plus souvent que chez les adultes. Mais avec le temps, tout est réglé sans interférence extérieure et la température du corps est maintenue entre 36,6 et 36,8 degrés.

Comme nous l'avons déjà compris, la zone du cerveau appelée hypothalamus est responsable de la régulation de la température corporelle. Ce petit organe contient divers centres, responsables non seulement de la régulation du régime de température, mais aussi du contrôle de la saturation, du sommeil et de l’éveil et de nombreux autres processus.

Sous le contrôle de l'hypothalamus sont le système endocrinien et le système nerveux autonome, il est donc pas surprenant que dans la pathologie de ces deux systèmes peut être la température observée sauts, ce qui indique à nouveau un mauvais fonctionnement de l'autorité de surveillance.

Mais comment l'hypothalamus sait-il comment corriger le régime de température? Tout au long de notre corps est dispersé un grand nombre de récepteurs sensoriels qui transmettent les impulsions à travers le système nerveux au cerveau. Hypothalamus reçoit ces impulsions (signal à l'action) des thermorécepteurs, et ceux obtenus à partir de leurs pyrogènes endogènes - substances produites par les cellules en réponse à une intoxication (intoxication peut être causée par des toxines, par exemple, l'alcool, les toxines ou plusieurs fois les micro-organismes insalubres d'élevage).

En recevant les signaux des thermorécepteurs, l'hypothalamus commence à rétablir activement l'équilibre perturbé entre le transfert de chaleur et la production de chaleur dans le corps, nécessaire à l'exercice d'une fonction de protection. Cela peut expliquer l'augmentation de la température corporelle lorsque l'infection pénètre dans le corps. Les températures élevées nuisent aux microbes, ce qui aide les cellules du système immunitaire à les traiter rapidement.

Dans les maladies cancéreuses, les cellules malignes trop actives commencent à produire des substances pyrogènes au cours du processus de fission, ce qui entraîne une augmentation de la température pendant la croissance active des tumeurs. Ainsi, les cellules malignes trompent l'hypothalamus et l'homme en résulte une fièvre dont la cause ne peut être comprise. Mais cela ne signifie pas qu'il n'existe pas.

Que se passe-t-il si une personne subit une surcharge ou une surchauffe? Pourquoi la température augmente-t-elle dans ce cas? Que fait l'hypothalamus en ce moment?

Il y a beaucoup de questions, mais la réponse est une. Ce corps a beaucoup de travail, mais il n'y est inclus qu'au signal. S'il n'y a pas d'infection dans le corps, alors la production de pyrogènes est minime, ce qui signifie qu'il n'y a personne pour transmettre le signal à l'hypothalamus. Ici, il est inactif à cet égard, il ne régule pas le transfert de chaleur, qui reste faible, tandis que la température du corps augmente sous l'influence de la chaleur provenant de l'extérieur ou de la production d'énergie accrue à l'intérieur du corps. Une diminution de la température se produit lorsque la production d'énergie est réduite (une personne se repose ou se calme après des perturbations) ou le corps est chauffé à l'extérieur.

Complications et conséquences

Du point de vue du danger pour la santé, il est nécessaire de prendre en compte à la fois le fait même d’une forte élévation de température et les causes pathologiques qui provoquent une telle réaction de l’organisme. Quant à la première question, la température jusqu'à 37,5 degrés n'est pas dangereuse en soi, surtout si une personne se sent tout à fait normale à la fois.

Bien sûr, si la température est associée à une maladie inflammatoire infectieuse aiguë, les médecins recommandent de s'abstenir de marcher et de travailler physiquement, ce qui affaiblit la force de la personne. Et pendant l'activation du système immunitaire, ils sont particulièrement nécessaires pour combattre l'infection.

En principe, les médecins estiment qu'il est nécessaire d'abaisser la température chez les adultes uniquement si sa valeur dépasse 38-38,5 degrés. Ceci est dû au fait que tous ne réagissent pas de la même manière à la température. Certains, même à 37 degrés, peuvent être renversés, tandis que d'autres vont tranquillement au travail (cela ne vaut tout simplement pas la peine de le faire!), Lorsque la colonne du thermomètre monte à 37,5-38 degrés. Mais dans tous les cas, empêcher le corps de lutter contre la maladie n'en vaut pas la peine, car la température élevée (entre 37,5 et 39 degrés) a un effet néfaste sur les microbes et ne permet que la multiplication des agents pathogènes.

Pour les enfants, l'indicateur d'un thermomètre de 38,5 degrés n'est pas considéré comme une limite dangereuse. Mais vous devez comprendre que les enfants, comme les adultes, souffrent de fièvre et de fièvre de différentes manières. Si le bébé, malgré la maladie, reste en forme, n'agit pas et ne pleure pas, ne pas utiliser de médicaments antipyrétiques tant que la température n'atteint pas 39 degrés. Lorsque l'indicateur du thermomètre commence à approcher la marque de 39,3-39,5, on peut commencer avec d'autres moyens de réduire la température. Le recours aux comprimés est recommandé uniquement en cas d'inefficacité des recettes traditionnelles accessibles des médecines alternatives.

Quel type de danger la température du corps peut-elle dépasser 39 degrés? L'augmentation de la température est en réalité un instinct d'auto-préservation du corps. Si le cerveau a reçu un signal de la présence "d'étrangers" dans le corps, il jette toutes ses forces pour les combattre. L'augmentation de la température dans ce cas est nécessaire pour augmenter l'intensité de la circulation sanguine et du métabolisme, ce qui, avec les conditions inadaptées à la vie des micro-organismes, contribuera à la destruction de l'infection.

Mais l'intensification de l'intensité des divers processus dans le corps est associée à une dépense d'énergie importante et à un besoin accru en oxygène. Pourquoi les médecins vous conseillent-ils de vous abstenir d’activités actives et de donner accès à l’air frais pendant la montée en température jusqu’à 39 degrés, car cela vous permet d’économiser de l’énergie et de prévenir l’hypoxie tissulaire.

Si la température est plus élevée, commencer poyavlyayatsya conditions déficientes associées à l'équilibre de sel de l'eau altérée (à une fièvre besoin de boire plus d'eau, qui s'évapore de la chaleur produite par le corps), l'épuisement des réserves d'énergie, le manque d'oxygène (déshydratation conduit à la viscosité du sang augmenté, ce qui est maintenant ne transporte pas si intensément l'oxygène à travers les vaisseaux).

En premier lieu, le cœur souffre. D'une part, il a besoin de fournir un travail intensif et, d'autre part, le myocarde commence à ressentir un grand besoin d'oxygène, ce que le sang ne fournit plus. Même l'augmentation du flux sanguin sous l'influence de la température ne résout pas le problème de l'apport d'énergie au myocarde du cœur. Une augmentation supplémentaire de la température à 40-41 degrés est un risque de rupture des parois cardiaques (infarctus du myocarde).

D'autres organes souffrent de déshydratation. Les effets négatifs de la température élevée du cerveau (SNC) et des reins sont plus importants que tous. La réduction de la quantité de liquide augmente l'intoxication globale du corps. Dans l'urine, la concentration de substances toxiques perturbant le travail des reins augmente.

La réaction du SNC peut se manifester par l'apparition de convulsions fébriles, qui surviennent souvent chez les enfants et peuvent provoquer un arrêt respiratoire et un œdème cérébral. Tout cela est associé à une violation des fonctions régulatrices du système nerveux. Il est clair que la dépression du système nerveux central affectera nécessairement le travail du cœur et du système respiratoire. La fréquence des contractions du cœur commencera à diminuer, la pression artérielle diminuera, de même que la fréquence respiratoire. Une augmentation supplémentaire de la température peut déjà entraîner la mort.

En soi, un changement dans la densité du sang est déjà dangereux. Si, à une température supérieure à 39 degrés ne prend pas Anticoagulants (vitamine C, l'aspirine, etc.), il existe un risque de thrombus intravasculaire et un arrêt cardiaque, qui est incapable de pomper le liquide très visqueux.

Une augmentation prolongée de la température est particulièrement dangereuse. Si la température de 39 degrés dure plus de 3 jours, il se heurte à divers troubles dangereux dans le corps. Pour les enfants, ce seuil est inférieur (38,5) en raison du risque de développer des crampes de fibrillation et d’arrêter la respiration, ce qui peut entraîner la mort de l’enfant.

La température au-dessus de 40 degrés est dangereuse pour la vie, peu importe combien de temps elle est observée.

Mais comme nous l’avons dit, le danger en soi n’est pas tant la température élevée (elle peut presque toujours être renversée par la pharmacie ou des moyens alternatifs), le nombre de causes pathologiques qui en sont la cause. L'absence d'autres symptômes de la maladie se traduit par une adresse tardive à un médecin pour obtenir des conseils et un traitement.

Si la température d'un adulte atteint 37,5 sans autres symptômes alarmants, une personne peut simplement ne pas y faire attention. Si la fièvre provoque une détérioration du bien-être ou interfère avec l'exercice des devoirs professionnels, les futurs patients sont tout simplement renversés par des agents fugitifs, ce qui ne contribue en rien à lutter contre les agents responsables d'une maladie encore cachée.

La vie active dans le contexte de températures élevées affaiblit le corps, réduit son immunité, permettant à l'infection de gonfler dans son ensemble ou, pire encore, de faire une promenade dans le corps. Ainsi, le mal de gorge, transféré sur les jambes, peut entraîner des complications pour différents organes vitaux: poumons, reins, cœur, organes auditifs, etc. On peut en dire autant des autres maladies qui se produisent avec une augmentation de la température.

Une température élevée sans cause chez un enfant est rarement laissée sans attention des adultes. Mais encore une fois, tous ne se précipitent pas immédiatement pour appeler un pédiatre à la maison, car cela peut être juste un symptôme de dentition ou de surchauffe, ce qui ne nécessite pas la participation d'un médecin.

En attendant l'apparition d'autres symptômes, nous perdons juste un temps précieux. Le stade aigu de la maladie, lorsque le traitement est le plus efficace, dure généralement peu de temps et, en l'absence de traitement, la maladie peut facilement prendre une forme chronique et se rappeler des épisodes de fièvre (généralement pendant les exacerbations).

Et c'est bien même si c'est une pathologie relativement inoffensive. Mais après tout, une fièvre peut également être la preuve d’une maladie oncologique (parfois accompagnée d’un développement rapide). Et plus le traitement est commencé tôt, plus une personne aura une chance de vivre.

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Diagnostics fièvre élevée sans cause chez les adultes

En soi, une température élevée sans cause ne peut être considérée comme un témoignage d'une maladie particulière. Cela peut se produire sous l'influence de divers facteurs. Le plus souvent, ce sont des processus infectieux et inflammatoires dans le corps, et la température peut être facilement réduite à l'aide de médicaments antipyrétiques. Les autres causes moins courantes (immunodéficience, parasites, certains virus, etc.), puis la température pendant longtemps adhère à des valeurs faibles (jusqu'à 38 degrés), ne succombant pas à une diminution des médicaments conventionnels.

Même un thérapeute ou un pédiatre expérimenté, à qui nous pouvons adresser un problème tel qu'une fièvre sans symptômes visibles de la maladie, ne sera pas en mesure de dire précisément ce que nous traitons jusqu'à ce que des recherches supplémentaires soient effectuées. Une autre chose est que dans la plupart des cas, nous ne savons pas quoi considérer comme symptômes de la maladie. Nous ne faisons tout simplement pas attention aux manifestations telles que la faiblesse, la fatigue, la détérioration de l'appétit et d'autres, sans les lier à une maladie possible. Pour le médecin, tout est important, alors à la réception, vous devez parler de toutes les nuances de la température croissante.

En plus d'écouter les poumons et l'examen du médecin de la gorge posent nécessairement des questions tendancieuses: quel genre de personnes alimentaires prennent le jour avant la montée de la température y était en contact avec les animaux, que ce soit il y a des cas similaires dans le travail (école, étudiant, jardin d'enfants) équipe, si le patient a assisté à des pays peu exotiques et similaires. Nous devrons également parler de ces symptômes, qui nous semblent inoffensifs, mais ils peuvent en fait être les symptômes d’une maladie lente.

Beaucoup plus d'informations peuvent être données au médecin par des tests de laboratoire. Le patient est administré des tests sanguins (total et biochimie, peuvent avoir besoin en plus de donner du sang pour le glucose et la coagulation) et l'urine (habituellement en général, et pour l'analyse de la fonction rénale suspectée Nechyporenko et al.).

S'il y a une infection dans le corps, sa présence sera démontrée même par un test sanguin général, sans parler d'une réaction inflammatoire dont l'intensité peut être estimée par le nombre de leucocytes. Si nous parlons du système génito-urinaire, un niveau beaucoup plus élevé de leucocytes sera également dans l'urine, en plus ce sera une protéine.

Les maladies infectieuses (surtout en l'absence de symptômes permettant un diagnostic préliminaire) nécessitent des recherches plus approfondies. Les patients reçoivent des tests pour la microflore bactérienne / fongique et les anticorps dirigés contre les virus.

L'analyse générale et biochimique du sang permet de soupçonner non seulement les pathologies infectieuses, mais aussi l'oncologie, ce qui nécessitera un don de sang supplémentaire pour les patients atteints de cancer. Le diagnostic est confirmé à l'aide d'études cytologiques et histologiques des tissus affectés.

Si vous suspectez une infection virale par des vers, vous devrez passer une analyse des matières fécales qui non seulement diagnostiqueront la maladie, mais révéleront également son agent pathogène.

Si les résultats des études ne donnent pas de réponse sans ambiguïté sur la cause de l’augmentation de la température, le patient se voit attribuer des diagnostics instrumentaux supplémentaires. Il peut s'agir d'une radiographie pulmonaire, d'une échographie des organes internes, suspectée par un médecin, d'un tomodensitogramme par ordinateur et par résonance magnétique de différentes parties du corps, de la dopplerographie (étude des vaisseaux sanguins).

Étant donné qu'une température élevée peut nuire à l'activité du cœur, on vérifie si cela fonctionne: mesure du pouls et de la pression artérielle, électrocardiogramme. Cette dernière, associée à la recherche sur le sang, aidera non seulement à évaluer la performance du moteur humain, mais aussi à révéler une pathologie aussi dangereuse que l’endocardite infectieuse.

Le diagnostic de la température élevée sans cause est un processus assez complexe dont le rôle décisif est attribué au diagnostic différentiel. Cependant, l'absence d'autres symptômes que la température rend beaucoup plus difficile l'identification de la cause de la maladie.

Par exemple, selon le Dr Komarovsky, les bébés endurcis ont des infections virales respiratoires au moins aussi souvent que les bébés non endurcis. Mais la maladie dans le premier cas ne peut se produire qu'avec une augmentation de la température, et les autres symptômes dans les 3 à 5 jours suivant la maladie peuvent ne pas apparaître du tout et indiqueront que l'organisme est tout à fait capable de faire face à l'infection.

Mais une forte fièvre sans symptômes à l'âge de 2,5 ans peut être la conséquence d'une surchauffe de l'enfant (elle ne durera pas longtemps) ou d'une dentition (dans ce cas, il est difficile de prévoir la durée de l'hyperthermie). La tâche du médecin est d'identifier la cause de la maladie, car les mêmes IRA, grippe, angine de poitrine nécessitent un traitement (vous devez aider le corps à vaincre l'infection) et si la cause est dans les dents, un traitement spécial n'est pas nécessaire.

Encore plus difficile d'effectuer des diagnostics de température sans cause chez les adultes ayant des bagages accumulés de maladies chroniques. Parfois, plusieurs analyses et examens sont nécessaires pour aller au fond de la cause cachée.

Traitement fièvre élevée sans cause chez les adultes

L'absence de cause visible de la maladie n'est pas une occasion de traiter le symptôme avec allégresse, mais plutôt d'interférer avec les antipyrétiques. L'augmentation de la température est une réaction normale du corps à la présence d'une infection, qui assure également une fonction de protection. Faire tomber la température simplement parce que cela nous empêche de ressentir des moyens sains d'empêcher le corps de se soigner. Mais est-ce raisonnable?

Si vous ne faites pas attention à la température de basse qualité, qui dure une semaine ou plus, vous pouvez manquer une maladie dangereuse qui compliquent également un traitement ultérieur lorsque la nécessité d'un traitement est déjà évident (par exemple, il y aura d'autres symptômes qui indiquent des défaillances dans les différents organes et systèmes) . Ainsi, vous pouvez avoir une maladie oncologique ou, pendant longtemps, être porteur d'une infection par le VIH, sans même le savoir.

Mais ne pas faire baisser la température, menaçant de graves violations des organes et systèmes vitaux, aussi, ne peut pas. Comment faire la bonne chose?

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La prévention

En matière de prévention, même le durcissement ne peut pas nous sauver de la fièvre. Après tout, il s’agit d’une réaction physiologique normale du corps, qui tente de se protéger des empiètements de micro-organismes étrangers. Et l'inquiétude ne devrait pas augmenter la température et son absence lorsqu'il y a des signes de maladies qui surviennent habituellement dans un contexte de températures subfébriles (modérées) ou fébriles (élevées). Si la température ne monte pas, alors le corps ne combat pas la maladie, et le blâme peut être une immunité affaiblie.

En élevant la température, le corps nous parle du problème et notre tâche est de l’aider à le combattre sans aggraver la situation. Avec une hyperthermie de toute étiologie, vous devez avant tout offrir à la personne la paix, l’air frais et beaucoup d’alcool.

Porter la température sur les jambes sans conséquences ne peut avoir que des petits enfants, et il est recommandé de se reposer au lit. Chez les adultes, cette négligence se heurte à diverses complications. Le corps doit se reposer et prendre de la force pour combattre la maladie, d'autant plus que la charge sur les organes pendant la montée en température est extrêmement élevée.

Il n'est pas nécessaire d'aller à l'hôpital avec une forte fièvre et de passer de longues files d'attente sous le bureau du médecin. Le thérapeute ou le pédiatre doit être appelé à la maison autant que possible et pendant la période d'attente pour surveiller les changements de température. Avec une hyperthermie sévère et de la fièvre, nous prenons des mesures pour réduire la température (les premiers, puis les médicaments traditionnels) et nous sommes au lit, armés de suffisamment de vitamines naturelles. Le liquide aidera à garder la température de la hausse excessive et à prévenir une condition aussi dangereuse que la déshydratation.

Une forte fièvre (supérieure à 39-39 degrés) sans cause ou en combinaison avec d'autres symptômes de la maladie peut nuire à l'organisme et ne peut donc pas le tolérer. Mais une chute de température forcée prématurée ne sera pas très bénéfique, mais elle peut aggraver la situation en affaiblissant les défenses du corps. Il est très important de bien comprendre le moment où il sera temps de recourir à un traitement sérieux, sur les possibilités dont il est toujours superflu de consulter un médecin traitant et de ne pas se lancer dans un auto-diagnostic et un traitement inefficace. Néanmoins, la fièvre et la fièvre ne sont pas une maladie, mais l'un de ses symptômes, ce qui signifie qu'il n'est pas toujours nécessaire de limiter la réduction de la température.

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Prévoir

Le phénomène de forte fièvre sans cause peut effectivement avoir autant de raisons, dont la plupart sont pathologiques, qui font des prédictions sur le traitement des conditions existantes n'est pas possible. La seule chose qui peut affirmer avec une grande précision que l'accès rapide à un médecin à une augmentation persistante de la température pendant plusieurs jours, même en l'absence d'autres symptômes augmente considérablement les chances d'une reprise rapide, et dans certains cas (par exemple, pour le cancer, ou intoxications aiguës) même aide sauver la vie du patient.

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