Pommades pour les muscles endoloris

Les douleurs musculaires peuvent avoir de nombreuses causes. Il peut s'agir de blessures sportives ou domestiques, ainsi que de certaines maladies du système musculo-squelettique. Ces maladies comprennent la myosite, la myalgie, la fibrosite, la sciatique et le lumbago.

Étant donné que la douleur dans les tissus musculaires peut être causée par différentes raisons, le traitement doit être choisi en fonction du tableau clinique du problème.

Onguent pour douleurs musculaires: terme générique désignant les produits réparateurs destinés aux problèmes musculaires. Ce groupe de médicaments comprend les onguents, les crèmes et les gels.

Les conditions traumatiques propices aux douleurs musculaires s'accompagnent de lésions des petits vaisseaux, d'une hypoxie tissulaire et d'une augmentation de la perméabilité capillaire. Tout cela entraîne une perturbation de la circulation sanguine et de la nutrition des tissus, ainsi que de leur processus de guérison. Dans ces cas, les onguents, gels et crèmes sportifs sont efficaces: ils ont un effet analgésique, réduisent l'inflammation, accélèrent la résorption, soulagent les gonflements et réduisent la taille des hématomes. De plus, ces médicaments favorisent la microcirculation dans les tissus et stimulent leur régénération. Les onguents, crèmes et gels sportifs se divisent en produits à effet chauffant et en préparations à effet rafraîchissant.

En outre, pour les douleurs musculaires, des médicaments conventionnels utilisés dans la médecine moderne et vendus dans les pharmacies ordinaires peuvent être recommandés.

Voici une liste non exhaustive de médicaments qui soulagent les douleurs musculaires. Les pommades qui soulagent les douleurs musculaires sont désignées par les noms suivants:

1. Apizartron.
2. Ben Gay.
3. Bom-Bengue.
4. Butadion.
5. Bystrumgel.
6. Viprosal V.
7. Voltarène Emulgel.
8. Diclofénac.
9. Gel Dolaren.
10. Gel de dolobène.
11. Indométhacine.
12. Cétonal.
13. Finalgon.
14. Éfkamon.

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Indications d'utilisation de la pommade pour les douleurs musculaires

• Apizartron.

Il est utilisé pour l'arthrose non spécifiée, les douleurs articulaires, la polymyalgie rhumatismale, la radiculopathie, la sciatique, le lumbago avec sciatique, les douleurs lombaires, la dorsalgie non spécifiée, les lésions non spécifiées de la membrane synoviale et des tendons, la myalgie non spécifiée, la névralgie et la névrite, d'autres déformations acquises spécifiées du système musculo-squelettique, la douleur non spécifiée, les luxations, les entorses et les lésions de l'appareil capsulo-ligamentaire de l'articulation d'une zone non spécifiée du corps, les lésions des muscles et des tendons dans des zones non spécifiées du corps.

• Ben Gay.

Utilisé pour les douleurs musculaires et articulaires causées par l'inflammation, la raideur articulaire et d'autres problèmes. Indiqué pour les douleurs du bas du dos et du sacrum causées par les entorses. Convient également après l'entraînement et d'autres activités sportives d'intensité accrue.

• Bom-Bengue.

Il est utilisé pour soulager les douleurs musculaires et articulaires causées par les entorses et les contusions. Il est également indiqué pour les douleurs lombaires et sacrum dues aux lumbagos et aux sciatiques.

• Butadion.

Il est prescrit pour les processus inflammatoires post-traumatiques des tissus mous et des articulations, résultant d'un étirement, d'un surmenage ou d'une contusion des tissus et organes susmentionnés. Ce médicament est indiqué pour les affections rhumatismales affectant les tissus mous, notamment les tendinites, les bursites, les lésions des tissus périarticulaires, ainsi que les douleurs musculaires d'origine rhumatismale et non rhumatismale. Il est également utilisé pour les syndromes douloureux et les gonflements causés par des problèmes musculaires et articulaires, notamment la polyarthrite rhumatoïde, l'arthrose, la radiculite, le lumbago et la sciatique.

• Bystrumgel.

Ce médicament est utilisé pour traiter les inflammations ou blessures affectant les articulations, les muscles, les ligaments et les tendons. Ces affections comprennent l'arthrite et la périarthrite, la bursite, la tendinite, la tendosynovite, les contusions et les lésions ligamentaires, diverses luxations, les lésions du ménisque du genou, le torticolis et le lumbago, ainsi que la phlébite et la périphlébite.

• Viprosal V.

Il est utilisé pour les douleurs causées par l'arthrite d'origines diverses, ainsi que les myalgies, les névralgies, la sciatique et la radiculite.

• Voltarène Emulgel.

Douleurs dorsales dues à des processus inflammatoires et dégénératifs de la colonne vertébrale, notamment radiculite, arthrose, lumbago et sciatique. Douleurs articulaires existantes affectant les articulations des doigts, du genou, etc., dues à la polyarthrite rhumatoïde et à l'arthrose. Douleurs musculaires dues à des entorses, des contusions, des blessures et une sollicitation excessive de ces tissus. Apparition de processus inflammatoires et de gonflements des tissus mous et des articulations dus à des blessures et des maladies rhumatismales, telles que bursite, tendovaginite, syndromes du poignet et lésions des tissus périarticulaires.

• Diclofénac.

Utilisé pour les inflammations des muscles, ligaments, tendons et articulations causées par des affections rhumatismales, notamment les entorses, les charges lourdes et les contusions. Également utilisé pour le traitement des formes localisées de rhumatismes des tissus mous tels que bursites, tendovaginites et périarthropathies. Utilisé pour les maladies rhumatismales localisées, telles que l'arthrose articulaire.

• Gel Dolaren.

Utilisé pour les myosites, les fibrosites, les sciatiques, les claquages musculaires et tendineux, ainsi que les blessures musculo-squelettiques. Indiqué pour les douleurs musculaires et articulaires, notamment lors d'efforts physiques intenses. Utilisé pour traiter les phénomènes inflammatoires et dégénératifs des articulations.

• Gel de dolobène.

Ce médicament est indiqué dans le traitement des hématomes et des processus inflammatoires des tissus mous, des muscles, des tendons, des gaines tendineuses et des ligaments, en cas d'ecchymoses, de compressions et de blessures. Il est également utilisé en cas de névralgie, de périarthrite scapulo-humérale, d'arthrite épidurale de l'épaule, de tendinite, de tendovaginite, de bursite, d'arthrite, d'arthrose déformante, de thrombophlébite superficielle et d'ulcères thrombotiques causés par une insuffisance veineuse chronique.

• Indométhacine.

Il est utilisé pour les processus inflammatoires des tendons, des ligaments, des muscles et des articulations causés par des blessures. Il est également prescrit pour le traitement de l'inflammation des tissus mous en cas de tendovaginite, de tendinite et de bursite. Il est également indiqué pour les myalgies, les lumbagos et les sciatiques. Il est également utilisé pour les processus inflammatoires et dégénératifs du système musculo-squelettique, par exemple dans l'arthrose déformante, la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, l'ostéochondrose, etc.

• Cétonal.

Il est utilisé dans les maladies inflammatoires dégénératives du système musculo-squelettique: polyarthrite rhumatoïde, arthrite séronégative, maladie de Bechterew, rhumatisme psoriasique, syndrome de Reiter, symptômes de la goutte, ainsi que pseudogoutte et arthrose. Il est également utilisé dans les tendinites, bursites, myalgies, névralgies, radiculites, syndromes douloureux post-traumatiques et postopératoires, qui s'accompagnent de processus inflammatoires et d'une augmentation de la température corporelle.

• Finalgon.

Le médicament est indiqué pour le traitement des douleurs musculaires et articulaires causées par un surmenage, l'arthrite, le lumbago, la sciatique, la névrite, la tendovaginite, la bursite.

• Éfkamon.

Le médicament est prescrit pour l'arthrite aiguë, la polyarthrite, la myalgie, la névralgie, le lumbago, la myosite cervicale, les rhumatismes, la radiculite lombo-sacrée, les migraines, les ecchymoses, la spondylarthrite déformante, la truncite, la ganglionite de la colonne cervicothoracique.

Formulaire de décharge

• Apizartron.

Le médicament est une pommade blanche ou jaunâtre. Il est conditionné en tubes d'aluminium de vingt ou cinquante grammes, scellés avec du papier aluminium et fermés par des bouchons en plastique. Chaque tube est placé dans un emballage en carton. Cent grammes de médicament contiennent trois milligrammes de venin d'abeille, dix grammes de salicylate de méthyle, un gramme d'isothiocyanate d'allyle, sept cents milligrammes de laurylsulfate de sodium, six grammes de vaseline blanche, quatorze grammes d'alcool cétostéarylique émulsionné et jusqu'à cent grammes d'eau.

• Ben Gay.

Le médicament est disponible sous forme de crème et de baume sportif de consistance crémeuse. La crème et le baume sont conditionnés dans des tubes en aluminium contenant chacun trente-cinq grammes de médicament. Les tubes sont placés un par un dans un emballage en carton et accompagnés d'une notice d'utilisation.

Chaque gramme de crème contient des principes actifs: cent cinquante milligrammes de salicylate de méthyle et cent milligrammes de menthol. Les composants auxiliaires comprennent une certaine quantité d'acide stéarique, de monostéarate de glycérol, de polysorbate 85, de tristéarate de sorbitan, de trolamine et d'eau purifiée.

Chaque gramme de baume sportif contient les principes actifs suivants: salicylate de méthyle (280 mg) et menthol (100 mg). Les excipients contiennent une certaine quantité de monostéarate de glycérol, de lanoline, de polysorbate 85, d'eau purifiée, de tristéarate de sorbitane, d'acide stéarique, de gomme xanthane et d'hydroxyde de potassium.

• Bom-Bengue.

Le médicament se présente sous forme de pommade, de couleur blanche ou blanche jaunâtre, et dégageant une forte odeur spécifique. Il est conditionné dans des tubes en aluminium de vingt-cinq grammes chacun, placés dans un emballage en carton avec une notice d'utilisation. Un gramme de médicament contient les principes actifs suivants: menthol (39 mg) et salicylate de méthyle (202 mg), ainsi que des excipients tels que la paraffine et la vaseline.

• Butadion.

Le médicament se présente sous forme de pommade blanche, de consistance uniforme et d'odeur spécifique. Il est conditionné dans des tubes en aluminium de vingt grammes chacun, placés dans une boîte en carton, accompagnés d'une notice d'utilisation.

Un gramme de médicament contient cinquante milligrammes de la substance active - la phénylbétazone, ainsi qu'une certaine quantité de composants auxiliaires, à savoir la carboxyéthylcellulose sodique, le dioxyde de silicium colloïdal, le parahydroxybenzoate de méthyle, la glycérine, le polysorbate 60, la paraffine liquide, le propylène glycol, l'eau purifiée.

• Bystrumgel.

Le médicament se présente sous forme de gel transparent et incolore, à l'odeur particulière. Il est conditionné dans des tubes en aluminium de trente ou cinquante grammes chacun, placés dans des boîtes en carton contenant chacun un tube. Une notice d'utilisation est insérée dans la boîte. Un gramme de médicament contient vingt-cinq milligrammes de kétoprofène, principe actif. On y trouve également des excipients: alcool éthylique, nipagine, carbomère, huile essentielle de lavande, trométamol, huile essentielle de néroli et eau purifiée.

• Viprosal V.

Le médicament se présente sous forme de pommade blanche ou blanchâtre teintée de jaune, à l'odeur de camphre ou de térébenthine. Il est conditionné en tubes d'aluminium de trente ou cinquante grammes chacun. Le tube est placé dans une boîte en carton et accompagné d'une notice d'utilisation. Un gramme de médicament contient cinquante unités de venin de vipère, dix milligrammes d'acide salicylique, trente milligrammes de camphre et trente milligrammes de térébenthine. On y trouve également des excipients, notamment des paraffines solides, de la vaseline médicale, de la glycérine distillée, un émulsifiant, du chlorure de sodium et de l'eau purifiée.

• Voltarène Emulgel.

Le médicament se présente sous la forme d'un gel crémeux, blanc ou blanc avec une teinte jaunâtre. Il est conditionné dans des tubes en aluminium laminé, munis d'une épaule et fermés par une membrane moulée solide, ainsi que par un bouchon en plastique. Chaque tube pèse cinquante ou cent grammes et est placé dans un emballage en carton accompagné d'une notice. Cent grammes de gel contiennent 2,32 grammes de principe actif, le diclofénac diéthylamine, ainsi que des excipients tels que des carbomères, du cétostéaro macrogol, du cocoyl caprylocaprate, de la diéthylamine, de l'isopropanol, de la paraffine liquide, de l'alcool oléique, de l'arôme eucalyptus, du propylène glycol, du butylhydroxytoluène et de l'eau purifiée.

• Diclofénac.

Le médicament se présente sous forme de pommade blanche ou presque blanche, à l'odeur légèrement spécifique. Il est conditionné en tubes d'aluminium de trente grammes chacun, placés dans un emballage en carton avec une notice d'utilisation. Chaque tube contient le principe actif, le diclofénac sodique, à raison de trois cents milligrammes. Le médicament contient également des excipients: diméthylsulfoxyde, propylène glycol, macrogol 1500 et macrogol 400.

• Gel Dolaren.

Le médicament se présente sous la forme d'un gel jaunâtre à l'odeur particulière. Il est conditionné en tubes d'aluminium de trente grammes chacun. Cent grammes de gel contiennent 1,163 gramme de diclofénac diéthylamine, cinq grammes de menthol, dix grammes de salicylate de méthyle et trois grammes d'huile de lin. Les autres composants sont l'alcool benzylique, le carbomère, la diéthanolamine, le bronopol, le métabisulfite de sodium, le propylène glycol, le polysorbate 80, l'huile de santal, l'alcool isopropylique et l'eau purifiée.

• Gel de dolobène.

Le médicament se présente sous forme de gel conditionné en tubes d'aluminium de cinquante ou cent grammes. Chaque tube est placé dans un emballage en carton et accompagné d'une notice d'utilisation. Cent grammes de gel contiennent 15 grammes de diméthylsulfoxyde, cinquante mille unités d'héparine sodique, deux grammes et demi de dexpanthénol et des excipients.

• Indométhacine.

Le médicament se présente sous forme de pommade à dix pour cent, conditionnée en pots en verre de quarante grammes ou en tubes d'aluminium. Chaque pot ou tube est placé dans un emballage en carton et accompagné d'une notice d'utilisation. La pommade est une substance de couleur jaune clair ou jaune foncé, avec une odeur mentholée spécifique. Cent grammes de médicament contiennent dix grammes d'indométacine, ainsi qu'une certaine quantité d'excipients: dimexide, urée, oxyde de polyéthylène 400, oxyde de polyéthylène 1500, propylène glycol, menthol, nipagine, nipazole et eau purifiée.

• Cétonal.

Le médicament se présente sous la forme d'un gel homogène et transparent. Il est conditionné dans des tubes en aluminium verni à l'intérieur. Le tube est recouvert d'une membrane protectrice et d'un bouchon polymère vissé. Le tube est placé dans une boîte en carton avec une notice d'utilisation. Chaque tube contient cinquante grammes de médicament. Un gramme de gel contient vingt-cinq milligrammes de kétoprofène, la substance active. Parmi les excipients, les fabricants ont utilisé du carbomère, de la trolamine, de l'huile essentielle de lavande, de l'alcool éthylique à 96 % et de l'eau purifiée.

• Finalgon.

Le médicament se présente sous forme de pommade et est conditionné dans des tubes en aluminium de vingt grammes chacun, munis d'applicateurs en plastique. Chaque tube est emballé dans une boîte en carton contenant une notice d'utilisation. Chaque tube contient quatre grammes de nonivamide et vingt-cinq milligrammes de nicoboxil.

• Éfkamon.

Le médicament se présente sous forme de pommade à usage externe, conditionnée en tubes d'aluminium de vingt grammes chacun. Il contient un gramme de salicylate de méthyle, quatre-vingts milligrammes de teinture de capsicum, quarante milligrammes de camphre, cent milligrammes d'huile essentielle de clou de girofle, trente milligrammes d'huile essentielle de moutarde, soixante-dix milligrammes d'huile essentielle d'eucalyptus et cent quarante milligrammes de méthol.

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Pharmacodynamie de la pommade pour les douleurs musculaires

• Apizartron.

Les composants du médicament ont les effets pharmacodynamiques suivants:

• Venin d’abeille – favorise le soulagement de la douleur et les effets anti-inflammatoires en stabilisant les membranes lysosomales; a un effet antibactérien en inhibant les bactéries à Gram positif.
• Le salicylate de méthyle est un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien et possède une forte efficacité anti-inflammatoire en inhibant la production de PG et en supprimant la COX.
• L'isothiocyanate d'allyle est un extrait standardisé purifié d'huile de moutarde qui favorise le réchauffement des tissus profonds, ce qui améliore le flux sanguin local et diminue la contractilité tonique musculaire.

• Ben Gay.

Ce médicament a un effet distrayant et analgésique. Il dilate les capillaires et irrite les récepteurs cutanés sensibles. Grâce au menthol qu'il contient, il procure une sensation de chaleur. Cet effet chauffant contribue à réduire les tensions, les spasmes et les douleurs, stimule la microcirculation et facilite l'élimination des substances irritantes de l'organisme sous forme d'acide lactique. La qualité des mouvements s'en trouve améliorée et des effets thérapeutiques se manifestent sur les articulations, les muscles, les tendons et certains organes internes. L'action du salicylate de méthyle soulage la douleur.

• Bom-Bengue.

Ce médicament a un effet combiné. Son principe actif, le salicylate de méthyle, possède une activité anti-inflammatoire, analgésique, irritante et distrayante. Cela se traduit par une augmentation de la perméabilité capillaire, une amélioration de la microcirculation et une inhibition de l'activité des médiateurs responsables des processus inflammatoires. Le métol irrite les terminaisons nerveuses des tissus hypersensibles et produit un effet analgésique.

• Butadion.

Ce médicament est un anti-inflammatoire non stéroïdien qui soulage l'inflammation et la douleur. Ses principes actifs inhibent de manière non sélective l'activité des cyclooxygénases 1 et 2, ainsi que la production de prostaglandines. La phénylbutazone inhibe la production de mucopolysaccharides ATP-dépendants.

Ce médicament est prescrit pour soulager la douleur et le gonflement causés par l'inflammation. Son application locale soulage la douleur articulaire et musculaire, au repos comme en mouvement.

• Bystrumgel.

Il possède des effets anti-inflammatoires et analgésiques. Il inhibe les cyclooxygénases 1 et 2 et contribue à la suppression de la production de prostaglandines. Il a un effet antibradykinine et stabilise les membranes lysosomales. Il réduit également la production de cytokines et inhibe l'activité des neutrophiles. Il se distingue par sa capacité à réduire, voire à éliminer, la douleur au repos et en mouvement.

• Viprosal V.

Le médicament favorise l'apparition d'effets irritants et analgésiques, qui se traduisent par une irritation des récepteurs cutanés et sous-cutanés, très sensibles. Tout cela entraîne une dilatation des vaisseaux sanguins et une amélioration du trophisme tissulaire.

• Voltarène Emulgel.

Le médicament contient le principe actif diclofénac, un anti-inflammatoire non stéroïdien. Ce composant est à l'origine de son effet analgésique, anti-inflammatoire et antipyrétique. Il a la capacité d'inhiber de manière non sélective les cyclooxygénases 1 et 2, ainsi que de perturber le métabolisme de l'acide arachidonique. Ce médicament est utilisé pour soulager les syndromes douloureux et inflammatoires affectant les articulations, les muscles et les ligaments, dus à des affections traumatiques ou rhumatismales. Parallèlement, la douleur et le gonflement diminuent, ce qui contribue à améliorer la mobilité articulaire.

• Diclofénac.

Ce médicament est un anti-inflammatoire non stéroïdien, dérivé de l'acide phénylacétique. Il possède des effets anti-inflammatoires et analgésiques. Il entraîne une diminution de la quantité de prostaglandines dans le foyer inflammatoire, obtenue par inhibition non sélective des cyclooxygénases 1 et 2, ainsi que par une perturbation du métabolisme de l'acide arachidonique.

• Gel Dolaren.

Ce médicament est un agent à action rapide, appliqué localement, qui possède des effets analgésiques et anti-inflammatoires.

Ce médicament provoque une hyperémie cutanée et améliore la microcirculation tissulaire, tout en agissant comme analgésique, réchauffant et anti-inflammatoire. Il active les processus métaboliques, améliore l'élasticité des muscles et des tissus et réduit le tonus musculaire local. Son efficacité est perceptible quelques minutes après l'application et atteint son maximum en vingt à trente minutes.

Le principe actif du médicament, le diclofénac sodique, est un anti-inflammatoire non stéroïdien qui se caractérise par sa capacité à pénétrer profondément dans les tissus et à s'y accumuler. Cette substance est capable d'inhiber la cyclooxygénase, entraînant une diminution de la production de prostaglandines.

L'huile de lin et le salicylate de méthyle ont des effets irritants et distrayants locaux sur les terminaisons nerveuses. De plus, ces substances sont reconnues pour leur action vasodilatatrice.

Le menthol a pour effet de dilater les vaisseaux sanguins dans les structures sous-cutanées, soulage la douleur et apporte une sensation de fraîcheur.

• Gel de dolobène.

Le médicament a des propriétés anti-inflammatoires, antiexsudatives, analgésiques, antithrombotiques; favorise la régénération tissulaire.

L’efficacité du médicament résulte des propriétés de ses substances actives.

Le diméthylsulfoxyde possède des propriétés anti-inflammatoires, anti-inflammatoires et analgésiques. Il pénètre efficacement les membranes biologiques et la peau. Utilisé conjointement, il favorise la pénétration d'autres composants dans l'organisme.

L'héparine se caractérise par sa capacité à inactiver les amines biogènes dans les tissus, ce qui explique son effet anti-inflammatoire et sa capacité à améliorer la microcirculation. Elle inhibe l'efficacité de la hyaluronidase, ce qui a un effet bénéfique sur les capacités de régénération des tissus.

Le dexpanthénol a des effets anti-inflammatoires et dermatoprotecteurs. Il contribue également à améliorer l'épithélialisation et la granulation de la peau et à stimuler la régénération des tissus. Après absorption, il est oxydé en acide pantothénique, un composant de la coenzyme A, et participe ainsi à de nombreux processus métaboliques.

• Indométhacine.

Ce médicament possède de puissants effets anti-inflammatoires et analgésiques. Son principe actif inhibe l'activité des cyclooxygénases 1 et 2, ce qui perturbe la production d'eicosanoïdes et de prostaglandines.

Dans les processus rhumatismaux, il favorise l'apparition d'effets anti-inflammatoires et analgésiques. Il peut réduire la douleur au repos comme pendant l'activité physique.

L'effet analgésique se manifeste trente minutes à une heure après l'application de la pommade. Cet effet peut être observé pendant six à neuf heures. L'efficacité maximale du médicament est constatée deux à trois heures après son application sur la zone affectée.

• Cétonal.

Le principe actif du médicament, le kétoprofène, est un antirhumatismal non stéroïdien aux effets anti-inflammatoires et analgésiques. Il est considéré comme l'un des plus puissants inhibiteurs de la cyclooxygénase. La lipoxygénase et la bradykinine réduisent également leur activité sous l'influence du kétoprofène. Ce médicament stabilise les membranes liposomales, ce qui contribue à prévenir la libération d'enzymes médiatrices des processus inflammatoires.

• Finalgon.

Le médicament a un effet combiné et est utilisé localement.

Parmi les principes actifs, l'action du nonivamide et du nicoboxil est notable. Le nonivamide est un dérivé synthétique de la capsaïcine et se caractérise par un effet irritant local stimulant les terminaisons nerveuses périphériques. Le nicoboxil a un effet vasodilatateur direct. Les principes actifs du médicament peuvent se potentialiser mutuellement.

Ce médicament provoque une hyperémie cutanée, soulage la douleur et procure un effet chauffant durable. Il a un effet anti-inflammatoire et favorise la régénération tissulaire accélérée. Son effet est observé en trois à six heures.

• Éfkamon.

Le médicament a un effet irritant et analgésique local.

Le composant actif du médicament - le salicylate de méthyle - favorise les effets anti-inflammatoires et analgésiques en supprimant la production de prostaglandines sur le site du processus inflammatoire.

Un autre composant actif du médicament – la teinture de capsicum – contient de la capsaïcine, une substance qui irrite fortement les récepteurs cutanés sensibles. Les huiles essentielles qui le composent – eucalyptus, moutarde, clou de girofle, ainsi que camphre et menthol – possèdent les mêmes propriétés.

Ce médicament a un effet distrayant, analgésique, réchauffant, apaisant et anti-inflammatoire. Son efficacité repose sur la stimulation de la production d'endorphines et d'enképhalines par le système nerveux central, qui suppriment ou atténuent la douleur dans les zones à problèmes en interagissant avec les impulsions provenant des tissus malades et des zones d'application du médicament. Ce médicament se distingue par sa capacité à améliorer l'irrigation sanguine des zones inflammatoires, ce qui entraîne une augmentation de la perméabilité des vaisseaux sanguins et un meilleur drainage des tissus pathologiques.

Pharmacocinétique de la pommade pour les douleurs musculaires

• Apizartron.

Aucune donnée sur les propriétés pharmacocinétiques du médicament n’est fournie.

• Ben Gay.

Il n’existe pas de données sur la pharmacocinétique du médicament.

• Bom-Bengue.

Le composant actif du médicament est capable de pénétrer à travers la peau intacte et d'avoir un effet systémique, bien que la concentration analgésique de la substance ne s'accumule pas dans la circulation sanguine systémique.

• Butadion.

L'absorption systémique en usage local ne dépasse pas 5 %. La phénylbutazone peut être métabolisée par le foie et est excrétée sous forme de métabolites par les reins. Seul un quart de ces métabolites est excrété dans les selles.

• Bystrumgel.

L'application locale du gel entraîne une absorption très lente du principe actif, ce qui contribue à maintenir durablement les concentrations thérapeutiques de kétoprofène dans les tissus concernés. Le kétoprofène pénètre efficacement dans le liquide synovial et les tissus conjonctifs. Sa concentration dans la circulation systémique est faible, sa biodisponibilité ne dépassant pas 5 %. Il ne s'accumule pas dans l'organisme.

• Viprosal V.

Il n’existe aucune information sur la pharmacocinétique du médicament.

• Voltarène Emulgel.

La quantité de substance active, le diclofénac, qui est absorbée par la peau, est déterminée par la zone d'application du médicament, ainsi que par sa dose.

La concentration plasmatique du principe actif est cent fois inférieure à celle obtenue après administration orale d'une quantité similaire. Environ 100 % du diclofénac est capable de se lier aux protéines sanguines, principalement aux albumines. Le principe actif a la capacité de se disperser et de s'accumuler dans les tissus sujets aux processus inflammatoires.

Le diclofénac est métabolisé en plusieurs métabolites phénoliques, dont certains sont transformés en glucuronoconjugués. La demi-vie de la substance et de ses métabolites est d'une à trois heures. La plus grande partie du diclofénac et de ses métabolites est éliminée de l'organisme par les urines.

• Diclofénac.

La quantité de médicament absorbée par la peau représente environ 6 % de la dose utilisée. Une occlusion de dix heures peut tripler la concentration du médicament absorbé.

La quantité maximale de médicament dans le sérum sanguin après application cutanée est cent fois inférieure à celle obtenue par voie orale. Plus de 99 % des substances actives se lient aux protéines plasmatiques, principalement aux albumines. La demi-vie de la substance dans le sang est d'une à deux heures. Le principe actif et ses métabolites sont principalement excrétés par voie urinaire.

• Gel Dolaren.

L'application locale du médicament permet une absorption de 5 % de la dose appliquée. Parallèlement, l'effet systémique des principes actifs sur l'organisme est minime.

• Gel de dolobène.

Le diméthylsulfoxyde, en application locale, se caractérise par sa capacité à pénétrer rapidement toutes les membranes biologiques. La concentration de la substance active dans la peau, les muscles et la membrane synoviale est dix à cent fois supérieure à celle du sang. Environ 90 % de la substance est excrétée par les reins et environ 6 % par les poumons. Sa demi-vie est de trois à quatre heures.

L'héparine se caractérise par une pénétration cutanée rapide. Ainsi, dans les soixante minutes suivant le début du traitement, la quantité d'héparine présente dans les tissus environnants correspond à l'administration intraveineuse de cinq mille unités de la substance.

Le dexpanthénol est absorbé par la peau et s'oxyde rapidement en acide pantothénique. Ce composant ne présente pas d'absorption systémique.

• Indométhacine.

Le médicament est rapidement absorbé par les tissus; son apparition dans les tissus sous-cutanés est visible cinq minutes après son application. La quantité de substance absorbée par la peau dépend du temps de pose de la pommade, ainsi que de sa quantité et de la qualité de son absorption. Le principe actif pénètre la membrane synoviale et le liquide synovial des articulations, où il peut être observé pendant cinq à huit jours.

Près de 100 % de la substance active se lie aux protéines sanguines, ce qui est réversible. L'indométacine est métabolisée dans le foie par la formation de métabolites, qui sont inactifs. Sa demi-vie est de quatre à neuf heures. Un tiers des métabolites est excrété dans les selles, et 70 % sont éliminés de l'organisme par les urines. Trente pour cent de la substance reste inchangée et est également éliminée de l'organisme.

• Cétonal.

Le principe actif du médicament est rapidement absorbé par la peau. Les concentrations thérapeutiques sont atteintes en deux heures. La biodisponibilité du médicament atteint 90 %. Le kétoprofène est capable de se lier aux protéines sériques à 99 %. La substance se caractérise par sa capacité à pénétrer dans le liquide synovial et peut y atteindre des concentrations thérapeutiques. Le métabolisme du kétoprofène s'effectue dans le foie, tandis que des conjugués se forment et sont excrétés par l'urine. Il n'existe aucun lien entre le métabolisme du principe actif et l'âge du patient. Une insuffisance rénale sévère ou des antécédents de cirrhose du foie n'ont pas d'incidence sur son métabolisme. L'excrétion urinaire du kétoprofène est lente.

• Finalgon.

Il n’existe pas de données sur la pharmacocinétique du médicament.

• Éfkamon.

Il n’existe aucune information sur la pharmacocinétique du médicament.

Mode d'administration et posologie

Apizartron.

• Le médicament est utilisé en usage externe. La pommade est appliquée sur la peau sous forme de bande de trois à cinq centimètres de long. Le produit est ensuite réparti sur la zone cutanée souhaitée, jusqu'à un millimètre d'épaisseur, jusqu'à l'apparition d'une rougeur et d'une sensation de chaleur (environ deux à trois minutes). Le médicament doit ensuite être appliqué en massage intensif et lent. Il est recommandé d'envelopper la zone affectée d'un linge afin d'accroître l'efficacité du médicament en maintenant la chaleur sur la zone traitée. Le médicament est utilisé deux à trois fois par jour pendant dix jours.

Ben Gay.

• La crème s'utilise localement en petite quantité, appliquée sur la zone souhaitée. Il est donc nécessaire de l'appliquer trois à quatre fois par jour.
• Le baume sportif s'applique en frottant les muscles trois ou quatre fois par jour.

Bom-Bengue.

• Le médicament s'utilise en application externe, en frictionnant les zones du corps concernées deux à trois fois par jour. Le traitement est déterminé par un spécialiste, en fonction des problèmes du patient.

Bystrumgel.

• Le médicament s'utilise localement. Appliquez trois à cinq centimètres de produit sur la zone cutanée souhaitée, puis étalez-le en fine couche et massez délicatement jusqu'à absorption. Il est utilisé deux fois par jour.

Viprosal V.

• Ce médicament est destiné à un usage externe. Cinq à dix grammes de médicament sont appliqués sur la zone douloureuse et massés soigneusement jusqu'à disparition complète de la douleur. Cette procédure doit être effectuée une à deux fois par jour. La durée du traitement dépend des problèmes du patient et de la nature de sa maladie.

Voltarène Emulgel.

• Le médicament s'utilise en usage externe. Deux à quatre grammes de gel sont appliqués sur la zone cutanée souhaitée, par de légers frottements. Cette procédure doit être effectuée deux fois par jour, pendant douze heures chacune. Après cela, il convient de se laver soigneusement les mains. La durée du traitement peut aller jusqu'à quatorze jours.

Diclofénac.

• La pommade est utilisée en usage externe. Deux à quatre grammes de médicament sont appliqués en fine couche sur la zone cutanée souhaitée et massés par légers mouvements. L'opération doit être répétée deux à trois fois par jour. La dose quotidienne maximale est de huit grammes. Après utilisation, il est impératif de se laver les mains. La durée du traitement est déterminée individuellement, mais ne doit pas dépasser deux semaines.

Gel Dolaren.

• Ce médicament est destiné à un usage externe. Le gel est appliqué en fine couche sur la zone cutanée souhaitée, à raison de deux à quatre grammes, puis massé légèrement jusqu'à absorption complète. L'opération est répétée trois à quatre fois par jour. Les symptômes douloureux s'atténuent ou disparaissent dès les premiers jours suivant le début du traitement.

Gel de dolobène.

• Le médicament s'applique localement. Une fine bande de gel est appliquée sur la zone cutanée concernée et légèrement massée. Cette procédure doit être effectuée deux à quatre fois par jour. Il est possible d'utiliser le gel et des techniques de physiothérapie comme l'ionophorèse et la phonophorèse.

Indométhacine.

• Le médicament est utilisé en usage externe. Une petite quantité de pommade est appliquée sur les zones affectées par des mouvements de friction. Cette application doit être répétée trois ou quatre fois par jour. Pour fixer le médicament au bon endroit, il est conseillé d'utiliser un pansement occlusif. La dose quotidienne maximale de pommade pour les patients adultes ne doit pas dépasser quinze centimètres. Pour les patients pédiatriques, la quantité de pommade est divisée par deux. La durée du traitement peut être de trente jours, mais elle doit être déterminée par un spécialiste.

Cétonal.

• Le médicament s'utilise une à deux fois par jour. Une couche de gel de cinq à dix centimètres est appliquée sur la zone cutanée concernée par de légers frottements. Il n'est pas nécessaire de poser un pansement. Le gel peut être utilisé en association avec d'autres médicaments Ketonal, tels que des gélules, des comprimés et des suppositoires. La dose quotidienne totale ne doit pas dépasser deux cents milligrammes. La durée du traitement est déterminée par le médecin traitant.

Finalgon.

• Le médicament est utilisé en usage externe. Le traitement doit être instauré par une faible dose. Dans ce cas, une quantité de médicament d'un demi-centimètre maximum doit être appliquée sur la peau, soit l'équivalent de la surface de la paume de la main. Le médicament est appliqué sur la peau à l'aide d'un applicateur et massé sans forcer. Il est ensuite important de se laver les mains afin d'éviter tout contact du médicament avec d'autres zones cutanées.
• Pour renforcer l'effet thérapeutique du médicament, il est nécessaire de recouvrir la zone traitée d'un tissu en laine. Le médicament doit être utilisé deux à trois fois par jour. La durée du traitement dépend de la nature de la maladie.

Éfkamon.

• Le médicament s'utilise en usage externe. Deux à trois grammes de produit sont appliqués en friction sur la zone cutanée concernée. Cette procédure doit être répétée deux à trois fois par jour. Après friction, un pansement sec et chauffant est appliqué sur la zone traitée. Le traitement dépend des problèmes du patient et est déterminé par un spécialiste.

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Utilisation d'une pommade pour les douleurs musculaires pendant la grossesse

• Apizartron.

L'utilisation du médicament pendant la grossesse est contre-indiquée. Il est nécessaire d'utiliser le médicament avec prudence pendant l'allaitement.

• Ben Gay.

Il est interdit d'utiliser le médicament pendant la grossesse et l'allaitement.

• Bom-Bengue.

L'utilisation du médicament pendant la grossesse et l'allaitement est contre-indiquée.

• Butadion.

Le médicament ne doit pas être utilisé pendant la grossesse et l’allaitement.

• Bystrumgel.

L'utilisation du médicament est interdite pendant la grossesse et l'allaitement.

• Viprosal V.

Le médicament ne doit pas être utilisé pendant la grossesse et l’allaitement.

• Voltarène Emulgel.

Il n'existe aucune information sur l'utilisation du médicament pendant la grossesse. De ce fait, il ne peut être utilisé aux premier et deuxième trimestres de la grossesse que sur recommandation d'un médecin, lorsque les bénéfices pour la mère l'emportent sur les risques pour le fœtus. L'utilisation du gel au troisième trimestre de la grossesse est déconseillée, car ce médicament peut provoquer un tonus utérin ou une fermeture prématurée du canal artériel du fœtus.

Pendant la période d'allaitement, le médicament ne doit pas être utilisé en raison du manque de données sur la pénétration des composants actifs du médicament dans le lait maternel.

• Diclofénac.

Il n'existe aucune donnée d'études cliniques sur ce médicament chez les femmes enceintes et allaitantes. Par conséquent, il est conseillé aux femmes de s'abstenir d'utiliser ce médicament pendant ces périodes. Son utilisation est interdite au troisième trimestre de la grossesse en raison du risque de fermeture du canal de Botallov, susceptible d'affaiblir les contractions pendant l'accouchement. Il n'existe aucune donnée sur la pénétration des principes actifs dans le lait maternel.

• Gel Dolaren.

Il est interdit d'utiliser le médicament pendant la grossesse et l'allaitement.

• Gel de dolobène.

L'utilisation du médicament pendant cette période est interdite, car il n'existe aucune donnée sur sa sécurité pendant cette période. Des études expérimentales ont révélé l'effet tératogène du diméthylsulfoxyde.

L'utilisation du médicament pendant l'allaitement est interdite en raison du fait que ses composants actifs se trouvent dans le lait maternel.

• Indométhacine.

Le médicament ne doit pas être utilisé pendant la grossesse et l’allaitement.

• Cétonal.

Il est interdit d'utiliser ce médicament au cours du troisième mois de grossesse, car son principe actif peut prolonger la gestation, obstruer prématurément le canal de Botal et provoquer une hypertension pulmonaire chez le nouveau-né. Aux premier et deuxième trimestres de grossesse, ce médicament n'est utilisé que sur la base d'indications strictes et sous la supervision de spécialistes.

Il n'est pas recommandé d'utiliser le gel pendant l'allaitement.

• Finalgon.

Il n'existe pas suffisamment d'informations sur la possibilité d'utiliser ce médicament pendant la grossesse. Par conséquent, son utilisation est interdite chez ces femmes. Il n'existe aucune donnée sur le passage des composants du médicament dans le lait maternel; il ne peut donc pas être utilisé pendant l'allaitement.

• Éfkamon.

L'utilisation du médicament pendant la grossesse et l'allaitement doit être décidée au cas par cas dans chaque cas spécifique de nécessité d'un traitement avec le médicament.

Contre-indications à l'utilisation de pommades pour les douleurs musculaires

Apizartron.

• Hypersensibilité aux composants du médicament.
• Patients pédiatriques de moins de douze ans.
• Femmes pendant leurs saignements menstruels.
• Présence de maladies infectieuses aiguës.
• L'apparition d'une septicémie.
• Processus inflammatoires aigus dans le corps, qui s'accompagnent de la formation de pus.
• Tuberculose.
• Hépatite, néphrite, pancréatite, diabète.
• Présence d'ostéoporose généralisée.
• Processus tumoraux dans le corps.
• Histoire des maladies organiques du système nerveux central, ainsi que des psychoses.
• Diathèse hémorragique.
• L'apparition d'une coagulopathie, d'une thrombocytopathie, d'une anémie.
• L'apparition d'une insuffisance circulatoire au deuxième ou au troisième stade.
• L'apparition d'une insuffisance rénale chronique, d'une cachexie, d'une insuffisance surrénalienne.
• La période précédant l'intervention chirurgicale.
• Des exacerbations peuvent survenir chez les patients atteints de calculs biliaires et rénaux.

Ben Gay.

• La présence d’hypersensibilité aux composants du médicament.
• Plaies ouvertes existantes au site d’application du médicament.
• Présence d'irritation cutanée.
• L'âge du patient est inférieur à douze ans.

Bom-Bengue.

• Hypersensibilité existante à la substance médicamenteuse.
• L'âge du patient est inférieur à dix-huit ans.
• La présence d'une sensibilité élevée à l'acide acétylsalicylique, ainsi qu'aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
• Histoire de l'asthme bronchique.
• Peau abîmée.
• Présence de maladies de peau.

Butadion.

• La présence d’hypersensibilité aux composants du médicament.
• Présence de lésions trophiques de la peau avec ulcères.
• L'apparition de l'eczéma.

Bystrumgel.

• Présence d'hypersensibilité au kétoprofène et à d'autres substances du médicament.
• Présence d'eczéma, de dermatoses, d'abrasions et de plaies infectées.|
• L'âge du patient est inférieur à quatorze ans.

Viprosal V.

• La présence d'hypersensibilité aux substances du médicament.
• Violation de l'intégrité de la peau.
• Présence de tuberculose pulmonaire.
• Antécédents de troubles de la circulation cérébrale et coronaire.
• Possibilité de survenue d'angiospasmes.
• Formes graves de dysfonctionnement hépatique et rénal.

Voltarène Emulgel.

• Présence d'hypersensibilité à l'actif ou aux excipients.
• Possibilité de développer de l'asthme bronchique, ainsi que des éruptions cutanées, une rhinite aiguë, à la suite de réactions allergiques à l'acide acétylsalicylique et à d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens.
• Violations existantes de l'intégrité de la peau dans la zone d'application souhaitée du médicament.
• L'âge du patient est inférieur à douze ans.
• Le gel doit être utilisé avec prudence en cas de porphyrie hépatique, de lésions érosives et ulcéreuses du tractus gastro-intestinal, de dysfonctionnement hépatique et rénal sévère, de problèmes de coagulation sanguine, de symptômes d'insuffisance cardiaque chronique, d'asthme bronchique et chez les personnes âgées.

Diclofénac.

• Présence d'hypersensibilité aux ingrédients du médicament. Le même avertissement s'applique à l'acide acétylsalicylique et aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
• Le patient a des antécédents d’asthme induit par l’aspirine.
• L'âge des patients peut aller jusqu'à douze ans.
• Violations existantes de l’intégrité de la peau.

Gel Dolaren.

• Antécédents d'hypersensibilité au diclofénac sodique ou à d'autres composants du gel.
• Présence d'asthme bronchique.
• Signes d’ulcère gastrique ou d’ulcère duodénal indiquant une exacerbation de la maladie.
• Enfants de moins de douze ans.

Gel de dolobène.

• Hypersensibilité existante aux composants actifs du médicament ou à ses excipients.
• Histoire de l'asthme bronchique.
• Symptômes existants d’insuffisance rénale et hépatique.
• La présence de troubles graves du système cardiovasculaire, à savoir l'angine de poitrine, l'infarctus du myocarde, l'accident vasculaire cérébral, l'athérosclérose générale sévère.
• L'âge du patient est inférieur à cinq ans.

Indométhacine.

• La présence d'une sensibilité élevée aux substances incluses dans le médicament.
• Ulcère gastrique ou ulcère duodénal existant au stade aigu.
• Phénomènes d'hypocoagulation.
• Maladie rénale chronique.
• Peau abîmée.
• L'âge du patient est inférieur à quatorze ans.

Cétonal.

• La présence d'une sensibilité élevée au kétoprofène, ainsi qu'à d'autres composants du médicament.
• Présence d'hypersensibilité aux médicaments du groupe des salicylates, ainsi qu'aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
• L'âge du patient peut aller jusqu'à quinze ans.
• Le patient a des antécédents de réactions allergiques aux salicylates.
• Avoir une prédisposition à certaines maladies, comme l’asthme bronchique ou les maladies allergiques.
• Il est interdit d'appliquer le médicament sur des surfaces cutanées endommagées - eczéma, dermatite suintante, plaies ouvertes ou infectées.

Finalgon.

• Sensibilité cutanée accrue.
• La présence d’hypersensibilité aux composants du médicament.
• Présence de plaies ouvertes, d'irritations et de lésions cutanées au site d'application du médicament. Le médicament ne doit pas être utilisé sur les muqueuses.
• Ne pas utiliser si vous avez des maladies de peau.
• Ne pas utiliser chez les patients pédiatriques de moins de douze ans.

Éfkamon.

• La présence d’hypersensibilité aux composants contenus dans le médicament.

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Effets secondaires de la pommade contre les douleurs musculaires

Apizartron.

• Réactions locales – irritation cutanée, rougeur, démangeaisons, douleur, hyperémie, gonflement.
• Apparition de malaises, d'agitation, de maux de tête, de nausées, de vomissements, de tachycardie, de frissons, d'urticaire dans tout le corps.
• Des troubles du sommeil sont observés.
• Une augmentation de la température corporelle globale est possible.
• Parfois, on ressent des douleurs dans la région lombaire et dans les articulations, ainsi que des crampes.

Ben Gay.

• L'apparition d'une irritation cutanée.
• L'apparition de réactions allergiques sous forme d'urticaire et d'érythème.

Bom-Bengue.

• L'apparition de réactions allergiques sous forme de gonflement de la peau, d'éruptions cutanées, ainsi que de démangeaisons et de sensations de brûlure.
• Il existe un risque de réactions allergiques: gonflement du visage, des lèvres, de la langue et du larynx, difficultés respiratoires. Dans ce cas, il est nécessaire de consulter un médecin en urgence.

Butadion.

• Les réactions locales peuvent inclure de l’eczéma, une photosensibilisation, une dermatite de contact accompagnée de démangeaisons, de rougeurs, de gonflements, de l’apparition de papules et de vésicules et d’une desquamation.
• Les réactions allergiques comprennent l’urticaire, l’œdème de Quincke, le bronchospasme et l’éruption cutanée généralisée.

Bystrumgel.

• Parfois, dans de très rares cas, des réactions allergiques et des symptômes de photosensibilité peuvent survenir.

Viprosal V.

• Des réactions allergiques peuvent survenir sous forme de démangeaisons et de brûlures de la peau, ainsi que de gonflement et d’urticaire de la peau.

Voltarène Emulgel.

• Réactions allergiques locales: apparition d'érythème, de dermatite, y compris de dermatite de contact, caractérisée par la présence d'eczéma, de démangeaisons, d'œdèmes, d'éruptions cutanées, de papules, de vésicules et d'une desquamation. Dans de rares cas, une dermatite bulleuse et une photosensibilité peuvent apparaître.
• Système immunitaire – apparition d’éruptions cutanées généralisées et de certaines manifestations allergiques – urticaire, hypersensibilité, œdème de Quincke.
• Système respiratoire – des crises d’asthme et des réactions bronchospastiques peuvent survenir.
• Dans les maladies parasitaires et infectieuses, dans de rares cas, des éruptions pustuleuses peuvent apparaître.

Diclofénac.

• Réactions allergiques – apparition d’eczéma, photosensibilité, dermatite de contact accompagnée de démangeaisons, d’hyperémie, de gonflement, d’éruptions papulo-vésiculaires, de desquamation de la peau; apparition de brûlures de la peau, d’éruption cutanée érythémateuse, d’urticaire.
• Un angio-œdème peut survenir, ainsi que des réactions anaphylactiques systémiques, y compris un choc anaphylactique.

Gel Dolaren.

• Le médicament est bien toléré par les patients.
• Dans de rares cas, des rougeurs de la peau, des démangeaisons ou une sensation de brûlure peuvent survenir.

Gel de dolobène.

• L'apparition de la mauvaise haleine.
• Modifications des sensations gustatives qui disparaissent en quelques minutes.
• Manifestations allergiques sous forme de démangeaisons, d'urticaire, d'œdème de Quincke.

Indométhacine.

• L'apparition de réactions allergiques sous forme de démangeaisons et de brûlures, d'hyperémie cutanée, d'éruption cutanée, de peau sèche.
• La survenue d'effets secondaires systémiques: nausées, vomissements, brûlures d'estomac, maux de tête, étourdissements, troubles du goût, vision floue, protéinurie, néphrite interstitielle, gastropathie).

Cétonal.

• Les manifestations courantes comprennent l'apparition d'une hypersensibilité cutanée, à savoir l'apparition de démangeaisons, de rougeurs et d'inflammations transitoires de la peau, une dermatite de contact légère.
• Dans de rares cas, des réactions inflammatoires cutanées sévères peuvent survenir sous forme de dermatite de contact; de réactions de photosensibilisation prolongées de contact sévères, qui se propagent ensuite à toutes les surfaces cutanées; d'exanthèmes cutanés; de symptômes de purpura; d'altération de la fonction rénale en présence d'antécédents d'insuffisance rénale; d'apparition de néphrite intestinale et de réactions asthmatiques.

Finalgon.

• Manifestations allergiques – apparition d’éruptions cutanées et d’urticaire, apparition de gonflements du visage.
• Réactions locales – une certaine hyperémie dans la zone où le médicament a été appliqué, des démangeaisons et des brûlures.

Éfkamon.

• Réactions allergiques locales – apparition de sensations désagréables sous forme de démangeaisons et de brûlures de la peau, ainsi que de desquamation.

Surdose

Apizartron.

• Des signes d'irritation cutanée apparaissent, qui se traduisent par des rougeurs de la peau et l'apparition de démangeaisons.
• Si les symptômes ci-dessus apparaissent, vous devez arrêter d’utiliser le médicament.

Ben Gay.

• Le médicament est un médicament pour lequel un surdosage est pratiquement impossible.
• Si les conditions d'utilisation de la pommade ne sont pas respectées, des symptômes de surdosage peuvent apparaître. Dans ce cas, il est recommandé d'arrêter le médicament et de consulter un médecin qualifié.
• Les signes d'un surdosage de menthol incluent une dépression du système nerveux central se traduisant par une perte de connaissance et une altération des réactions aux stimuli externes. Des vomissements, des diarrhées et des nausées, une respiration difficile, une augmentation du flux sanguin vers le visage et des signes de somnolence peuvent également être observés.
• Les signes d’un surdosage de salicylate de méthyle comprennent l’apparition d’une excitabilité sévère, une respiration altérée et l’apparition d’une hyperthermie sous une forme maligne.

Bom-Bengue.

• Un surdosage ne peut se développer que lors de l'utilisation d'une grande quantité de médicament appliquée sur de grandes zones de la peau, ainsi que lorsque la pommade entre en contact avec des zones endommagées de la peau et lorsqu'elle est prise par voie orale.
• Les signes d’un surdosage de salicylate de méthyle comprennent l’agitation, une respiration plus profonde et des symptômes d’hyperpyrexie.
• Les symptômes d’une surdose de menthol comprennent des nausées et des vomissements, des douleurs abdominales, des rougeurs au visage, des étourdissements, une démarche instable, une somnolence, une détresse respiratoire et un coma.
• Dans ces cas, le recours à une thérapie symptomatique est indiqué.

Butadion.

• Le faible degré d'absorption du médicament n'entraîne pas de surdosage lorsqu'il est utilisé en externe.
• Si le médicament a été avalé accidentellement en grande quantité, plus de vingt grammes, les symptômes observés lors d'un surdosage d'anti-inflammatoires non stéroïdiens apparaîtront.
• Dans ce cas, vous devez rincer votre estomac et prendre du charbon actif.

Bystrumgel.

• La faible biodisponibilité du médicament rend un surdosage impossible.
• Théoriquement, on s’attend à ce que des saignements surviennent en tant que symptôme d’un surdosage.

Viprosal V.

• On observe l'apparition de réactions allergiques, qui s'expriment par la présence de démangeaisons et de brûlures de la peau, ainsi que par l'apparition de dermatites et de desquamations cutanées.
• Dans ce cas, il est recommandé d'arrêter d'utiliser le médicament et de rincer tout médicament restant sur la peau avec de l'eau.

Voltarène Emulgel.

• Le médicament se caractérise par une faible absorption systémique; un surdosage est donc peu probable. Une pénétration accidentelle du médicament dans le corps du patient peut entraîner des effets indésirables. Dans ce cas, un lavage gastrique, une provocation des vomissements, l'administration de charbon actif et un traitement symptomatique sont nécessaires.

Diclofénac.

• Il n’y a aucun cas de surdosage du médicament en raison du faible niveau d’absorption systémique.

Gel Dolaren.

• Il n’y a aucun cas de surdosage détecté au cours du traitement.

Gel de dolobène.

• Un surdosage est considéré comme peu probable car l’absorption systémique des substances actives est considérée comme très faible.

Indométhacine.

• La faible absorption systémique de la pommade rend pratiquement impossible un surdosage du médicament.
• Si le médicament est pris par voie orale, il peut provoquer des symptômes de surdosage. Les symptômes sont: maux de tête, vertiges, nausées, vomissements, troubles de la mémoire, désorientation spatiale, parfois une sensation d'engourdissement des membres, des signes de paresthésie et des convulsions.
• Dans ce cas, il est recommandé de procéder à un lavage gastrique et d'appliquer un traitement symptomatique. Il n'existe pas d'antidote spécifique. La diurèse forcée et l'hémodialyse ont montré leur inefficacité.

Cétonal.

• Des signes d'irritation cutanée, de démangeaisons et d'érythème peuvent apparaître. Dans ce cas, il est nécessaire de rincer la peau à l'eau courante pendant une longue période.

Finalgon.

• L'utilisation d'une dose supérieure à celle indiquée dans les instructions peut provoquer les symptômes suivants: démangeaisons ou brûlures, hyperhémie cutanée. Pour atténuer ces sensations désagréables, il est conseillé d'utiliser une crème nourrissante.

Éfkamon.

• Il n’existe aucun cas connu de surdose de drogue.

Interactions de la pommade contre les douleurs musculaires avec d'autres médicaments

• Apizartron.

L'association de venin d'abeille et de glucocorticoïdes, de salicylates et d'antihistaminiques est autorisée en traitement. L'utilisation de salicylate de méthyle augmente l'efficacité des anticoagulants et du méthotrexate.

• Ben Gay.

Il n’existe aucune donnée sur l’interaction du médicament avec d’autres médicaments.

• Bom-Bengue.

Les patients utilisant des médicaments et des anticoagulants à des fins de traitement nécessitent une surveillance spécialisée.

• Butadion.

Il n'existe aucune donnée sur les interactions cliniquement importantes entre ce médicament et d'autres médicaments. Le médicament ne doit pas être utilisé avec d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, ni avec des médicaments provoquant une photosensibilité.

• Bystrumgel.

Aucune interaction du médicament avec d’autres médicaments n’a été identifiée.

• Viprosal V.

Il n’existe aucune interaction connue du médicament avec d’autres médicaments.

• Voltarène Emulgel.

Ce médicament renforce l'efficacité des médicaments pouvant provoquer une réaction de photosensibilité. Aucune interaction significative avec d'autres médicaments n'a été rapportée.

• Diclofénac.

Il contribue à renforcer l'efficacité des médicaments provoquant des réactions de photosensibilité. Il doit être utilisé avec prudence en association avec d'autres médicaments présentant une hépatotoxicité, notamment les antibactériens et les antiépileptiques. Aucune interaction cliniquement significative avec d'autres médicaments n'a été observée en raison de sa faible absorption systémique.

• Gel Dolaren.

Aucune interaction systémique du médicament avec d’autres médicaments n’a été identifiée.

• Gel de dolobène.

Grâce au diméthylsulfoxyde, la résorption de nombreuses substances peu pénétrantes à travers la peau est améliorée. Des neuropathies périphériques peuvent survenir suite à l'utilisation concomitante de médicaments contenant du sulindac.

• Indométhacine.

La pommade se caractérise par une faible absorption systémique, de sorte qu'aucune interaction médicamenteuse n'a été observée. L'association d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens peut amplifier leur action systémique, ainsi que leur effet gastrotoxique.

L'héparine renforce l'effet analgésique et anti-inflammatoire du médicament lorsqu'elle est utilisée simultanément et localement. Son effet anticoagulant est également renforcé.

Le menthol, ainsi que les médicaments contenant de la capsaïcine et diverses huiles essentielles, lorsqu'ils sont appliqués simultanément sur la peau, aident à renforcer l'effet analgésique.

Le diméthylsulfoxyde, utilisé simultanément avec le médicament, entraîne une absorption systémique accrue et permet d'augmenter la distance de pénétration de la pommade dans les tissus.

• Cétonal.

Le kétoprofène, lorsqu'il est utilisé simultanément avec l'acide acétylsalicylique, se caractérise par une diminution de son taux de liaison aux protéines plasmatiques. L'action du probénécide peut entraîner une diminution de la clairance du kétoprofène et de son taux de liaison aux protéines sériques. Le principe actif du médicament contribue à réduire l'élimination du méthotrexate et augmente sa toxicité. Les autres interactions médicamenteuses ne sont pas cliniquement significatives.

• Finalgon.

Il n’existe aucune donnée sur la nature de l’interaction entre le médicament et d’autres médicaments.

• Éfkamon.

Aucune interaction médicamenteuse n’a été décrite entre le médicament et d’autres médicaments.

Conditions de conservation de la pommade pour les douleurs musculaires

Chaque médicament requiert certaines conditions de conservation. Les conditions de conservation de la pommade pour douleurs musculaires sont les suivantes:

• Apizartron - dans un endroit inaccessible aux enfants et à une température ne dépassant pas vingt-cinq degrés Celsius.
• Ben-Gay - dans un endroit inaccessible aux enfants à une température ambiante ne dépassant pas vingt-cinq degrés Celsius.
• Bom-Bengue - dans un endroit inaccessible aux enfants, avec une température ambiante ne dépassant pas vingt degrés Celsius.
• Butadion - dans une pièce où les enfants n'ont pas accès à une température de huit à quinze degrés Celsius.
• Bystrumgel - dans un endroit sec, à l'abri des enfants et du soleil, à une température de quinze à vingt degrés Celsius.
• Viprosal B - à une température allant jusqu'à vingt-cinq degrés Celsius et ne pas congeler, dans un endroit inaccessible aux enfants.
• Voltaren Emulgel - dans un endroit inaccessible aux enfants, à une température ambiante ne dépassant pas trente degrés Celsius.
• Diclofénac - placé dans un endroit sec, hors de portée des enfants, à une température ne dépassant pas vingt-cinq degrés Celsius.
• Gel Dolaren - dans un endroit sec à l'abri de la lumière directe du soleil, hors de portée des enfants à des températures allant jusqu'à vingt-cinq degrés Celsius.
• Gel Dolobene - à une température ambiante ne dépassant pas vingt-cinq degrés Celsius et dans un endroit inaccessible aux enfants.
• Indométhacine - dans un endroit à l'abri de la lumière et des enfants, à une température allant jusqu'à quinze degrés Celsius.
• Ketonal est conservé dans une pièce inaccessible aux enfants, à une température ambiante ne dépassant pas vingt-cinq degrés Celsius.
• Finalgon - doit être conservé à température ambiante hors de portée des enfants.
• Efkamon - à conserver dans un endroit sec et frais, hors de portée des enfants.

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À consommer de préférence avant la date limite

Chaque médicament a une durée de conservation déterminée, au-delà de laquelle il ne peut être utilisé à des fins thérapeutiques. La durée de conservation des médicaments contre les douleurs musculaires est la suivante:

• Apizartron – trente-six mois à compter de la date de fabrication.
• Ben-Gay - deux ans à compter de la date de sortie.
• Bom-Bengue - vingt-quatre mois à compter de la date de fabrication.
• Butadion – cinq ans à compter de la date de fabrication.
• Bystrumgel – vingt-quatre mois à compter de la date de fabrication.
• Viprosal B – trois ans à compter de la date de fabrication.
• Voltaren Emulgel – trente-six mois à compter de la date de fabrication.
• Diclofénac – deux ans à compter de la date de fabrication.
• Gel Dolaren – trois ans à compter de la date de fabrication.
• Gel Dolobene – deux ans à compter de la date de fabrication.
• Indométhacine – trente-six mois à compter de la date de fabrication.
• Ketonal – cinq ans à compter de la date de fabrication.
• Finalgon - quatre ans depuis sa sortie.
• Efkamon - trois ans et demi depuis sa sortie.

Les pommades contre les douleurs musculaires constituent une famille de médicaments modernes qui aident à soulager efficacement les douleurs musculaires et autres troubles de l'appareil locomoteur. Par conséquent, en cas de problème ou de douleur, il est nécessaire de recourir aux médicaments présentés ci-dessus, qui soulageront les symptômes désagréables et amélioreront l'état du patient.