Piqûre de mouche du coche: symptômes et signes

L'été, malgré ses charmes, recèle aussi des soucis, voire des dangers. Une piqûre de taon en est un exemple. Elle entraîne non seulement des conséquences désagréables telles que démangeaisons et gonflements, mais peut également entraîner une grave détérioration de la santé, voire la mort, par exemple en cas de forte réaction allergique ou de choc anaphylactique.

Pourquoi une piqûre de taon est-elle dangereuse?

Le principal danger réside dans le développement d'une forte réaction allergique, susceptible d'entraîner une affection grave, voire la mort. Un choc anaphylactique ou un œdème de Quincke peuvent entraîner un danger de mort. [ 1 ] En l'absence de soins d'urgence, ces affections peuvent être mortelles. Des affections moins dangereuses sont un gonflement, une urticaire, un hématome au site de la piqûre et de fortes démangeaisons. Se gratter la piqûre peut entraîner une infection, un processus inflammatoire tout aussi dangereux qu'une allergie. Une piqûre de taon est également dangereuse, car elle peut provoquer une crise d'étouffement, en particulier chez les personnes sujettes aux maladies respiratoires, ayant des antécédents d'asthme bronchique ou de bronchite.

Épidémiologie

Selon les statistiques, les enfants sont les plus souvent mordus. Ainsi, un enfant sur quatre de moins de 7 ans est mordu par des taons. Un enfant sur trois de moins de 12 ans est mordu. Un choc anaphylactique se développe dans environ 18 % des cas. Une réaction accrue, accompagnée de manifestations systémiques sur tout le corps, d'une augmentation de la température et d'une inflammation prononcée au site de la piqûre, se développe dans environ 45 % des cas. Environ 35 % des cas s'accompagnent d'un gonflement, de démangeaisons et d'une rougeur au site de la piqûre, qui sont traités efficacement grâce à un traitement spécifique. [ 2 ], [ 3 ]

Facteurs de risque

Le groupe à risque comprend les personnes qui passent beaucoup de temps à l'extérieur: dans la cour, le jardin, le potager, les parcs urbains et les forêts. Le risque est particulièrement élevé en présence de végétation odorante ou de fleurs en fleurs, qui attirent les insectes. Le danger est accru en présence de produits alimentaires et de sucreries à proximité. Les sucreries comme le miel, le sucre, la barbe à papa et les fruits mûrs attirent particulièrement les insectes. Le risque augmente significativement pour les personnes qui mangent à l'extérieur, pique-niquent ou utilisent des cosmétiques parfumés, surtout s'ils ont une odeur sucrée.

Pathogénèse

La pathogénèse repose sur une réaction allergique qui se développe au site de la morsure. Initialement locale, elle peut ensuite se transformer en réaction généralisée et systémique affectant l'ensemble de l'organisme. Après la morsure, une petite quantité de salive contenant des enzymes pénètre dans l'organisme avec la piqûre. Ce sont ces enzymes qui sont perçues par le système immunitaire humain comme des agents étrangers.

Une réaction immunitaire est déclenchée pour détruire cet antigène (allergène). Elle s'accompagne de l'activation du lien immunitaire T (développement d'une réponse immunitaire cellulaire). Au deuxième stade, le lien immunitaire B est activé (réponse immunitaire humorale). Tout d'abord, des réactions cellulaires et une phagocytose se développent. Les lymphocytes, les monophages et les neutrophiles migrent immédiatement vers le site de la morsure, leur principale tâche étant de neutraliser et d'éliminer de l'organisme tout ce qui est génétiquement étranger (et donc dangereux). Une réaction se développe: l'antigène meurt souvent, mais les cellules du système immunitaire meurent avec lui. De nouvelles cellules viennent à la rescousse. Ainsi, une réaction inflammatoire se développe progressivement au site de la morsure.

De plus, afin d'« aider » les cellules immunitaires à combattre les antigènes, le système immunitaire commence à synthétiser des facteurs chimiques supplémentaires. Une forte libération d'histamine se produit, favorisant le processus inflammatoire. Sa libération excessive provoque une réaction allergique. La pathogenèse d'une piqûre de taon est également associée à la production active de médiateurs tissulaires, des enzymes qui pénètrent dans le foyer inflammatoire et aident les cellules immunitaires à combattre les antigènes. Si la réaction locale n'est pas stoppée à temps, le processus peut se généraliser et une réaction systémique se développer à l'échelle de l'organisme tout entier. Une activation excessive du système immunitaire est dangereuse, car des réactions auto-immunes peuvent se développer, transformant une réaction de protection en une réaction dangereuse pour l'organisme lui-même. Certaines cellules du corps humain commencent à être perçues comme étrangères par le système immunitaire et à être détruites, tout comme les antigènes. Il s'agit d'une réaction auto-immune possible, au cours de laquelle des tissus importants de l'organisme sont attaqués. [ 4 ]

Une piqûre de taon peut également provoquer un choc anaphylactique. La pathogénèse repose sur une altération de la réactivité immunitaire, qui se traduit par une hypersensibilité de l'organisme aux antigènes. En réponse à leur pénétration dans l'organisme, une forte libération d'histamine se produit en grande quantité. C'est cette hormone qui provoque les symptômes de l'anaphylaxie, qui nécessitent une prise en charge immédiate.

Que se passe-t-il après une piqûre de taon?

La première réaction immunitaire après une piqûre de taon vise à éliminer l'antigène de l'organisme. Cet antigène est constitué des enzymes qui ont pénétré dans l'organisme avec la salive et la piqûre.

Il est à noter qu'avec une sensibilisation accrue de l'organisme, une hypersensibilité se développe, accompagnée d'une réaction extrêmement forte de l'organisme à l'antigène, et d'une réaction d'hypersensibilité immédiate se manifestant par une anaphylaxie (choc anaphylactique). Dans ce cas, une grande quantité d'histamine est libérée brutalement dans le sang, ce qui entraîne une crise d'asthme, une chute brutale de la tension artérielle et de la température. Cette situation peut entraîner la mort. Chez les patients souffrant d'asthme bronchique, de bronchite asthmatique ou d'obstruction des voies respiratoires, une crise d'asthme se développe souvent.

Si la réaction est normale, une petite réaction inflammatoire ou allergique se développe au site de la morsure, qui disparaît rapidement si le site de la morsure est traité correctement.

Quoi qu'il en soit, quelle que soit la réaction, il est essentiel de consulter un médecin. Ne serait-ce que pour vous assurer que vous n'avez pas été infecté par des larves de taon et que vous ne présentez pas de risque de maladie parasitaire. Pour établir un diagnostic, le plus simple est de contacter votre thérapeute habituel. Il vous prescrira les examens nécessaires, un programme d'examen et vous orientera vers les spécialistes appropriés. En fonction des résultats, le traitement approprié sera prescrit.

Les œstres pondent-ils des œufs lorsqu’ils piquent?

Les taons ont la capacité de pondre des œufs sous la peau des bovins. Il est impossible de répondre avec certitude à la question de savoir s'ils pondent des œufs lorsqu'ils piquent une personne. À l'heure actuelle, rien ne permet d'affirmer qu'ils en sont incapables. Cependant, il a été établi que, dans la plupart des cas, ils ne pondent pas d'œufs. La plupart des piqûres n'entraînent pas d'infestation parasitaire (environ 96 %). Cependant, il existe des cas isolés où une maladie parasitaire s'est développée après une piqûre de taon (1 à 2 semaines après la piqûre, de nombreux passages de larves sont apparus à cet endroit). D'autres signes d'infestation parasitaire sont également apparus. Mais il s'agit de cas exceptionnels. Il convient de garder à l'esprit que les bovins sont les principaux hôtes des larves de taons. Par conséquent, en cas de contact avec des animaux, des précautions doivent être prises. Les larves qui pénètrent sur la peau humaine s'enracinent sous la peau et provoquent une maladie parasitaire.

Symptômes mouche du coche

Les symptômes d'une piqûre de taon comprennent une rougeur au site de la piqûre, des démangeaisons et des brûlures. Ces symptômes s'aggravent progressivement. Si, à ce stade, la piqûre n'est pas traitée correctement et qu'aucun antiallergique n'est administré, la réaction inflammatoire et allergique s'aggrave. À mesure que la réaction progresse, un gonflement, une hyperémie et une compaction apparaissent au site de la piqûre. La réaction peut également affecter les tissus environnants et s'étendre bien au-delà de la piqûre. Plus tard, des symptômes généraux tels que frissons et fièvre s'ajoutent. Une intoxication, des signes de progression de la réaction et le développement d'une réaction inflammatoire systémique peuvent apparaître.

Il est facile de deviner que le premier signe permettant de reconnaître une piqûre de taon est la sensation de la piqûre elle-même, qui se manifeste le plus souvent par une vive douleur lancinante. Beaucoup la ressentent comme une piqûre douloureuse qui provoque immédiatement une brûlure. La sensation de brûlure s'intensifie progressivement, la zone de la piqûre devient rouge et gonfle. Une perforation cutanée est clairement visible (une petite trace de la piqûre est visible). Une rougeur et un gonflement apparaissent autour. Il arrive aussi que la personne ne ressente pas directement la piqûre. Les manifestations externes de la piqûre apparaissent alors: atteinte cutanée, perforation, rougeur et gonflement autour de la piqûre, démangeaisons ou brûlures, et plus rarement douleur. Dès l'apparition des premiers signes de piqûre, il est nécessaire de consulter un médecin sans attendre que la situation s'aggrave. Un infectiologue ou un chirurgien peut être nécessaire. Le diagnostic repose sur le tableau clinique de la pathologie et les résultats des examens diagnostiques.

À quoi ressemble une marque de morsure de taon?

La marque laissée sur la peau par une piqûre de taon dépend de la réaction individuelle du corps aux facteurs étrangers (l'état du système immunitaire), ainsi que du niveau de sensibilisation du corps, qui détermine la gravité de la réaction allergique.

Avec une sensibilisation accrue et une réactivité accrue du système immunitaire, la réaction se développe brutalement: le site de la morsure gonfle rapidement et une rougeur apparaît. Au site de la morsure, un point est généralement clairement visible, provenant de la perforation de la peau par le dard. Une rougeur, une compaction et un gonflement se développent autour. La taille de cette marque dépend de la réaction et peut varier d'un point sans gonflement, ou avec un gonflement et une rougeur minimes (quelques millimètres), à un gonflement prononcé, affectant de larges zones du corps. Par exemple, en cas de morsure à la paume, tout le bras, jusqu'à l'épaule, peut gonfler.

Les larves de taons piquent

Lors d'une piqûre, le taon ne pond presque jamais d'œufs ni de larves dans le corps humain. En revanche, il peut les pondre dans le corps des bovins (sous la peau). L'homme est infecté par des larves par contact avec des animaux infectés. Les larves sont reconnaissables à leurs passages caractéristiques sous la peau, sans piqûre de taon. De même, la piqûre s'accompagne d'un processus inflammatoire et d'une réaction allergique. Il est nécessaire de traiter la zone de la piqûre le plus rapidement possible afin d'éviter une réaction allergique et une inflammation, et de prévenir efficacement l'infection. Il est préférable d'utiliser de l'alcool ou d'autres teintures contenant de l'alcool. Pour éviter l'infection, après une piqûre de taon ou un contact avec des larves (de bovins infectés), il est conseillé de traiter la zone de la piqûre avec des teintures contenant de l'alcool pendant au moins 10 jours.

Morsure de tauromachie

Les taons bovins vivent souvent sur les taureaux et les vaches. Leur morsure est insensible et sans danger pour les bovins, mais provoque une forte réaction chez l'homme (les vaches ne développent donc pas d'anaphylaxie, d'hypersensibilité ni de suffocation). Cela est dû au fait que la peau des vaches et des taureaux est recouverte d'un lubrifiant protecteur. Si cela ne suffit pas, les bovins se roulent également dans la boue. La boue séchée protège efficacement des morsures. Mais les vaches courent un autre danger: les taons pondent des œufs sous la peau, d'où éclosent ensuite des larves, puis de nouveaux insectes se développent. Or, ce phénomène est déjà dangereux en raison du développement d'une grave maladie parasitaire, un processus inflammatoire. Le plus grand risque est que les larves forment des passages sous la peau et se nourrissent des sucs tissulaires et du sang des animaux. Elles peuvent pénétrer dans la circulation sanguine, infecter les organes internes et les tissus, entraînant la mort de l'animal.

On trouve un grand nombre de taons bovins dans les pâturages, les étables, les fermes et les exploitations agricoles. Il est important d'anticiper le risque de piqûre lors d'un contact avec des animaux. Il est donc conseillé d'avoir une trousse de premiers secours. Il est également recommandé de porter des vêtements de protection contre les piqûres: pantalons longs, pulls à manches longues. Les symptômes d'une piqûre sont classiques: perforation de la peau, brûlures, démangeaisons, rougeurs et gonflements.

Piqûre de taon pendant la grossesse

Une piqûre de taon pendant la grossesse présente un risque élevé. Durant cette période, l'organisme subit déjà un stress accru, notamment une restructuration active de toutes les fonctions, un déséquilibre hormonal et une diminution de l'immunité. Une sensibilisation accrue et un taux élevé d'histamine se développent dans l'organisme, ce qui prédétermine une réaction allergique et inflammatoire prononcée et augmente significativement le risque d'hypersensibilité, d'œdème sévère, de suffocation et de choc anaphylactique. Le danger particulier réside dans le fait que non seulement la mère, mais aussi l'enfant (fœtus) est en danger. Une piqûre peut avoir des conséquences imprévisibles sur le déroulement de la grossesse. Le risque de fausse couche, de grossesse non désirée, de mortinatalité, de malformations fœtales ou de complications diverses ne peut être exclu.

Il est important de rappeler que pendant la grossesse, l'immunité de la femme diminue, ce qui augmente considérablement le risque d'infection, d'infection du site de la piqûre et la probabilité d'une invasion parasitaire. La piqûre doit être signalée au médecin qui suit la grossesse.

La zone de la piqûre doit être lubrifiée avec une pommade spéciale conçue pour soulager les démangeaisons et éliminer le processus inflammatoire. La pommade à la lévomycétine est efficace. Elle s'applique en fine couche sur la peau et se frotte soigneusement. Vous pouvez également dissoudre un comprimé d'analgine ou d'aspirine dans quelques millilitres d'eau bouillante tiède. Imbibez un coton de la solution obtenue, puis essuyez la zone de la piqûre avec cette solution. La durée du traitement est de 7 à 10 jours. [ 5 ]

Piqûre de taon sur un enfant

Le corps d'un enfant étant plus sensible, une piqûre de taon peut entraîner une réaction allergique, un gonflement, une rougeur et d'autres réactions beaucoup plus rapidement. Il est donc nécessaire de fournir une assistance immédiate et de veiller à administrer à l'enfant un médicament antiallergique. [ 6 ]

Pour soulager les démangeaisons, la douleur et les réactions allergiques, des analgésiques sont souvent prescrits, comme le paracétamol, l'analgine et l'aspirine. Il est recommandé de prendre un comprimé 2 à 3 fois par jour. [ 7 ] Les anti-inflammatoires et les antihistaminiques sont très efficaces. Le traitement comprend souvent non seulement des médicaments traditionnels, mais aussi des recettes populaires, homéopathiques et des plantes médicinales.

Complications et conséquences

Une piqûre de taon provoque presque toujours des démangeaisons. Pourquoi? Parce qu'elle est liée à la réaction de l'organisme à l'enzyme qui pénètre dans le corps humain lors de la piqûre. Elle provoque le développement d'une réaction inflammatoire et allergique. Tout d'abord, des médiateurs de l'inflammation et de l'histamine arrivent au site de la piqûre. Ce sont eux qui contribuent à l'apparition des démangeaisons. Les démangeaisons apparaissent également lors de la cicatrisation et de la régénération de la peau. Les processus de régénération s'accompagnent toujours de démangeaisons, car ils sont liés à des réactions biochimiques cutanées.

Des médicaments anti-inflammatoires et antiallergiques spécifiques sont généralement nécessaires. En cas de piqûre de taon, on prescrit souvent du tavegil ou de la loratadine (prendre 1 comprimé par jour, car ce sont des médicaments à action prolongée). Leur durée d'action est de 24 heures. Pour soulager les symptômes locaux, il est nécessaire d'utiliser diverses pommades qui soulagent rapidement et efficacement les démangeaisons et l'inflammation, et préviennent le développement d'une infection. Pour en savoir plus sur les autres conséquences d'une piqûre de taon, cliquez ici.

Diagnostics mouche du coche

Pour diagnostiquer une piqûre de frelon, il est nécessaire de se rendre dans une clinique ou un hôpital. Le diagnostic peut être posé par un chirurgien, un thérapeute, un traumatologue, un allergologue ou un infectiologue. Aucun médecin ne pose directement le diagnostic des piqûres d'insectes. Vous pouvez néanmoins consulter un thérapeute: il vous orientera vers le médecin compétent, choisira un traitement et un diagnostic, prescrira les examens nécessaires et les examens instrumentaux. Le diagnostic repose généralement sur le tableau clinique de la pathologie développée, à partir d'un examen du site de la piqûre.

Diagnostic différentiel

Le diagnostic différentiel repose sur la nécessité de déterminer les caractéristiques distinctives nécessaires à un diagnostic correct et permettant de distinguer une piqûre de taon de celles d'autres insectes. La suite du traitement et son efficacité en dépendent largement.

Traitement mouche du coche

Si vous avez été piqué par un taon, le traitement doit viser à prévenir les principales conséquences de la piqûre, notamment une réaction allergique et une intoxication. En effet, la conséquence la plus dangereuse d'une piqûre est une réaction allergique, qui se développe assez rapidement. Le plus grand danger d'une piqûre est le développement d'une réaction immédiate, qui progresse rapidement et entraîne des conséquences désastreuses. Le plus grand danger est le choc anaphylactique. Ses conséquences sont extrêmement graves, pouvant aller jusqu'au décès, à l'hypoxie et à la suffocation. Il faut également tenir compte du fait que le risque est considérablement accru chez les personnes sujettes aux réactions allergiques, aux crises d'asthme et aux troubles respiratoires.

En plus d'arrêter une crise ou une réaction allergique, le traitement doit viser à soulager la douleur (le cas échéant), à empêcher l'infection de pénétrer dans le site de la morsure et le développement d'un processus inflammatoire et infectieux.

Dans ce cas, il est important de réagir rapidement et de fournir des soins d'urgence. Il faut d'abord retirer la piqûre au plus vite. Ensuite, après l'avoir retirée, appliquer du froid sur la zone affectée. Pour prévenir une réaction allergique, il est conseillé de prendre un comprimé antiallergique dès que possible ou de l'injecter par voie intramusculaire. Après les soins d'urgence, la zone affectée doit être traitée avec diverses pommades pendant une période prolongée. Le choix de la pommade est généralement effectué par un médecin. En l'absence de consultation médicale, il est préférable d'opter pour des pommades anti-inflammatoires ou antiseptiques. Ces dernières sont particulièrement utiles en cas de risque d'infection de la piqûre, de plaie ou de lésions cutanées. Vous pouvez également utiliser divers remèdes populaires et homéopathiques.

Le patient doit être hydraté en abondance. Si des signes d'intoxication apparaissent (température corporelle élevée, frissons, fièvre), il est nécessaire de prendre des absorbants et des antipyrétiques. Le traitement est donc principalement symptomatique et vise à soulager les principaux symptômes de la pathologie.

La prévention

La prévention repose principalement sur l'utilisation de moyens spécifiques contre les insectes, notamment les piqûres de taons et de taons. Un diagnostic rapide est essentiel. Il est important d'éviter les zones où vivent des insectes et de ne pas manger à l'extérieur. Afin de prévenir les complications et une forte réaction allergique, il est essentiel de maintenir un bon système immunitaire, notamment en maintenant une bonne endurance et une bonne forme physique. Il est important de faire de l'exercice, de bien manger et de suivre une routine quotidienne. Il est essentiel de consommer suffisamment de vitamines et de boire beaucoup d'eau. Cela permettra d'éviter les complications en cas de piqûre et de récupérer plus rapidement.

Comment se protéger des piqûres de taons et de taons?

Pour vous protéger des piqûres d'insectes, ne laissez rien d'attirant à proximité. Gardez les bonbons, confitures et compotes à l'écart. Pour ne pas attirer les taons et les taons, il est préférable de ne rien manger dehors. Il est également important d'éviter les endroits où les insectes sont nombreux, les zones de floraison ou les commerces de miel. Il est également nécessaire d'utiliser un équipement de protection spécifique, disponible en pharmacie.

Prévoir

Si une personne reçoit des soins d'urgence rapidement, le pronostic peut être favorable. Si un choc anaphylactique douloureux n'est pas toléré, la morsure guérit rapidement et ne laisse aucune trace. En revanche, sans soins d'urgence, une piqûre de taon peut avoir de graves conséquences, voire la mort.